Kenya, Philippines, Ethiopie, Nicaragua... Le Comptoir de l'Innovation investit les pays émergents.

Après plusieurs prises de participations dans l'entrepreneuriat social français, le Comptoir de l'Innovation (CDI) développe le programme « CDI Partners », destiné à financer et accompagner le changement d'échelle d'entreprises sociales dans les pays émergents.

En novembre et décembre, le CDI est entré au capital de Suntransfer et C02 Bambu, deux social business à la recherche de fonds pour développer leur activité.

• Suntransfer est une entreprise sociale qui conçoit, fabrique et vend des produits à base d'énergie solaire (lampes, batteries rechargeables, chargeurs de téléphone mobiles,...) à destination des communautés rurales n'ayant pas accès à l'électricité au Kenya, en Ethiopie et aux Philippines.

C02 Bambu opère au Nicaragua et en Amérique Centrale dans la construction de bâtiments écologiques en bambou : logements sociaux, abris post-catastrophes naturelles, logements pour classes moyennes, bâtiments publics (écoles, municipalités, dispensaires...).

A travers ces deux investissements, le Groupe SOS affirme sa volonté de soutenir le secteur de l'entrepreneuriat social et accompagner son changement d'échelle, en France et dans le monde.

Le Comptoir de l'Innovation est la filiale d'investissement et de conseil du Groupe SOS.

Rendez-vous sur le site du CDI pour plus d'infos.

Crescendo va crescendo

Le site dailyneuvieme.com rend compte d'une bonne nouvelle pour Crescendo qui a reçu des subventions pour trois de ses structures au service de la petite enfance agréées Ville de Paris lors du conseil d'administration du 9e arrondissement de Paris. En novembre 2011 dans la Gazette santé social, Marie-Hélène Crémonèse revient sur les nouveaux enjeux des éducateurs de jeunes enfants et leur accès à des postes de direction.

Appels au don de temps pour Parrains par mille

Marie France et Vaucluse matin incitent au parrainage de proximité et au don de temps à travers des articles citant Parrains par mille en exemple.

Sport sans frontières

Une forte présence médiatique pour Sport sans frontières avec le lancement du label "Club solidaire" et l'opération de mise aux enchères de sportifs sur eBay qui ont fait couler de l'encre dans Ouest France, A nous Paris, La Croix, sofoot.com, France soir, Midi olympique, etc.

Sida : la lutte continue

Têtu et l'Humanité ont recueilli les propos de travailleurs sociaux de l'association Arcat pour leurs papiers respectifs :
« Les travailleurs du sexe bossent pour leur santé » et « Sida et travail, les discriminations sont toujours là ». Par ailleurs, en vue de lutter contre le VIH/sida, l'annonce des ventes solidaires « L'Instant masculin » (le Kiosque) et « Les créateurs ont du cœur » (Arcat) a été relayée par des médias de renom tels que Le Monde week-end, Le Journal du dimanche, Le Monde pour Direct matin, Métro, Marianne, Elle.fr ou encore Télérama sortir, A nous Paris, le Parisien, Le Figaro et vous, Vogue.fr, Cosmopolitain.fr...

100 % Noirs de France

Le numéro 100 % Noirs de France de Respect mag a largement été annoncé à la fois en presse écrite et en radio : le Monde, le Parisien, Libération, 20 minutes Paris, Direct matin, France culture, France inter, France info, etc. L'édition spéciale a notamment engendré une critique dans Marianne qui a jugé l'approche communautariste ; remarque contre laquelle s'est défendu Marc Cheb Sun, fondateur et rédacteur en chef de Respect mag, par le biais du site Rue 89.

Le CDI sur les ondes

Pour sa chronique « Initiative France info » en septembre dernier, la radio accueillait Nicolas Hazard, président du Comptoir de l'innovation, pour présenter le nouveau modèle économique proposé par cette société d'investissement. 

L'ess à l'honneur

A l'occasion du Mois de l'économie sociale et solidaire, nombreux sont les médias à avoir traité ce sujet sous différents angles. Le Monde économie, dans son dossier « L'économie sociale gagne du terrain là où l'Etat recule » a interviewé Jean-Marc Borello. Youphil l'a également interrogé sur les solutions à déployer en temps de crise contre l'exclusion sociale. Un article de Jean-Marc Borello dans le supplément de Terra eco était dédié à « l'entreprise au service de la société » . Un dossier similaire où le délégué général du Groupe abordait la notion « d'entreprise sociétale » a été publié en septembre dernier dans la Gazette santé social. Quant à l'emploi dans l'ESS, l'Humanité dimanche a mentionné le Groupe SOS et ses « 37 entreprises sociales où il fait bon travailler ».

Des dispositifs éducatifs de référence

Faire primer l'éducation sur la répression. Dans un article du 30 septembre 2011, Le Post revient sur la proposition de Ségolène Royal d'expérimenter l'encadrement militaire des jeunes délinquants et la confronte à l'accompagnement éducatif renforcé.
Un mode de prise en charge expérimenté et attesté par Insertion et alternatives et ses 11 structures d'accueil de mineurs en difficulté. Par ailleurs, l'édition de septembre du Lien social a cité en exemple le dispositif d'accueil de jour expérimenté à Nancy par JCLT en 1997.

L'éthique dans les médias

Que ce soit la dizaine de produits présentés dans l'émission « Comment ca va bien ? » sur France 2, les bougies à la cire de soja dans Le Parisien et Aujourd'hui en France, le collier en ivoire végétal dans Télé 7 jours supplément ou le pouf en bambou dans Elle à Paris, les produits Altermundi ont envahi les sélections shopping.
Par ailleurs, l'Evénementiel et paperblog.fr rapportent que Té-Traiteur Ethique était le traiteur de l'université d'été du Medef pour la deuxième année consécutive. De son côté, Business event valorise le sens de l'éthique et les prestations sur mesure de Té-Traiteur Ethique en lui consacrant un portrait dans son numéro de novembre/décembre.

Tama lutte contre l'exclusion

Dans son édition du 17 novembre 2011, Le Point traite de l'incessante chasse aux sans papiers à Mayotte et du sort des 6 000 mineurs isolés dont l'unique accompagnement associatif est apporté par l'association Tama.

L'association de formation, de conseil et d'évaluation Arabesque propose un nouveau catalogue de formations 2011-2012 en ligne.

A travers une large gamme de formations, Arabesque adapte sa démarche pédagogique aux enjeux spécifiques des professionnels en leur apportant les outils nécessaires pour améliorer leurs pratiques.

Parmi ces formations destinées à tous les professionnels et bénévoles du champ sanitaire, social et médico-social, ainsi que l'ensemble des acteurs de l'économie solidaire, on retrouve des formations didactiques ou d'actualité et des boîtes à outils prêtes à l'emploi.

Retrouvez le catalogue des formations sur  www.arabesque-formation.org.

Après avoir privilégié la solution proposée par le Groupe SOS en vue d'un adossement institutionnel, Hospitalor a rejoint le pôle Sanitaire, social et médico-social du groupe le 21 octobre.

Hospitalor compte 2700 salariés, portant ainsi le nombre total de salariés du groupe à 7000. Il se compose de trois centres hospitaliers, 32 EHPAD (établissement d'hébergement pour personne âgée dépendante), deux SSIAD (service de soins infirmiers à domicile), quatre établissements pour personnes handicapées, cinq services de portage de repas à domicile et un centre de formation d'aides-soignants. Le siège social de l'association est situé en Lorraine (Saint Avold) et ses différents établissements dans les départements suivants : Moselle, Meurthe-et-Moselle, Vosges, Nord et Oise. La capacité d'accueil totale est de plus de 3000 lits / places.

                       

Une histoire liée au bassin minier

Soucieuses d'assurer leurs obligations, les Houillères du Bassin de Lorraine avaient été amenées à créer et à prendre en charge quatre établissements de soins. Confrontées, au début des années 70, à l'inéluctable récession charbonnière et aux besoins de nouveaux moyens liés aux progrès de la médecine, la gestion des établissements hospitaliers a été transférée à Hospitalor (association Hospitalière Lorraine).

Ce transfert avait pour objectif premier de permettre à ces établissements d'affirmer leur vocation de service public et de s'adapter à l'évolution des besoins sanitaires de la région. L'association a été animée par le souci d'offrir à la population du bassin Houiller un équipement sanitaire de qualité en s'attachant à assurer, grâce aux moyens mis à sa disposition, à la fois le développement des techniques médicales et chirurgicales dans les disciplines qui lui sont imparties et l'amélioration des conditions d'accueil de ses structures.

Près de 40 ans plus tard, Hospitalor a su conserver ses valeurs originelles et son attachement aux traditions humanistes héritées de la solidarité minière, est une organisation reconnue dans le Nord et l'Est de la France.

De nouvelles perspectives

En 2011, du fait des difficultés financières persistantes que connaissait l'association, son comité directeur a envisagé un adossement institutionnel à un autre acteur, et, en octobre, c'est le Groupe SOS qui a été privilégié. Cette étape importante dans la vie de l'association lui permet d'envisager l'avenir avec sérénité et de poursuivre son projet global d'offre de soins. Hospitalor devient donc l'association de référence du Groupe SOS pour son développement dans les régions de l'Est du Nord de la France.
Cela vaut naturellement pour les secteurs du sanitaire et de l'autonomie, mais aussi au-delà.

Excellence dans l'accompagnement

L'Association Hospitalor fait preuve d'un savoir-faire reconnu dans l'accompagnement des personnes âgées et des personnes en situation de handicap.

Les bâtiments sont fonctionnels, spacieux, lumineux et permettent de concilier la vie en collectivité et le respect de l'intimité. Les chambres individuelles sont meublées et disposent de sanitaires adaptés aux personnes accueillies. Bon nombre d'EHPAD disposent d'une unité Alzheimer avec un projet spécifique.

L'équipe pluridisciplinaire assure un accompagnement personnalisé et adapté aux besoins de chaque résident, dans le respect des règles de bientraitance. Le personnel bénéficie de formations régulières. Les soins sont assurés par du personnel paramédical diplômé et la traçabilité est effectuée au moyen d'un logiciel fonctionnel. Le lien avec les intervenants libéraux fait l'objet d'attentions particulières.

La restauration est un des points forts des établissements : les repas sont réalisés au sein de l'établissement par des cuisiniers diplômés. Les menus sont variés, équilibrés et adaptés aux résidents. Le service à l'assiette, les nappes sur les tables, dans une salle de restauration conviviale, renforcent le côté « restaurant ». Le repas est un moment privilégié et très attendu par les résidents.

L'animation et l'ouverture de l'établissement sur l'extérieur sont une priorité et permettent le maintien des capacités cognitives, physiques et du lien social. L'animation est proposée par l'ensemble de l'équipe, des bénévoles et des intervenants extérieurs. Elles sont régulièrement adaptées aux besoins des résidents (espace SNOZELEN, toucher/massage, musicothérapie, sorties variées...).

Des groupes de travail inter-établissement se réunissent régulièrement pour proposer des évolutions architecturales et organisationnelles afin de s'adapter à l'évolution de la population. Les établissements sont habilités à l'aide sociale et sont donc accessibles aux personnes n'ayant pas les ressources suffisantes pour honorer le coût de l'hébergement.

Située à Saint Prix, dans le Val d'Oise, Bois Renard est une Maison d'enfants à caractère social (MECS) bénéficiant d'une habilitation Aide sociale à l'enfance.

Les jeunes accueillis bénéficient d'un accueil adapté en fonction de leur âge et de leur projet personnel.

Au mois d'octobre, le conseil général du Val d'Oise a souhaité confier la gestion de cette MECS d'une capacité de 40 places pour des jeunes âgés de 3 à 18 ans à l'association JCLT.

Le magazine des nouveaux enjeux de société qui traite d'initiatives, d'acteurs ou encore de réflexions de fond pour réconcilier l'économique et le social.

Dossier : Solidarité, la finance pour changer d'échelle.

Un dossier consacré aux « investissements à impact », ou une nouvelle façon d’utiliser la finance : quand l’investissement de capitaux génère à la fois des revenus, et des effets positifs, en termes sociaux et environnementaux.

Comme chaque trimestre, Interdépendances propose :

Des portraits, présentations d’initiatives concrètes, des articles société et bien plus encore.

EDITORIAL

Nouveau cycle

De la catastrophe de Fukushima aux révolutions du Printemps arabe, mouvements des « indignés » de Madrid ou des occupants de Wall Street, 2011 a donné matière à réfléchir et reconstruire. A quels changements assisterons-nous en 2012 ? Peut-on envisager un nouveau cycle ?

ENTREPRENDRE

PARCOURS D'ENTREPRENEUR SOCIAL | Fabrice Millet, Améliorer le cadre de vie

A tout juste 34 ans, il est depuis huit ans le directeur général de la menuiserie fondée par son grand-père en 1946 et dirigée par son père depuis plus de 30 ans.
Rencontre avec Fabrice Millet, entrepreneur atypique formé à l'école de la vie.

TERRITOIRE | Le Poitou-Charentes voit le solidaire en vert

Entreprendre autrement et croissance verte : deux priorités pour la région Poitou-Charentes dans le développement de l'emploi sur son territoire.
Le cap est mis sur une économie sociale, solidaire et écologique.

MONDE | Entreprise sociale au Sénégal

Dans la banlieue de Dakar, l'entreprise qu'a créé Cherif Basse rencontre un succès éclatant, tant du point de vue économique que sur la réalisation de son objectif social.

SAVOIR-FAIRE | Un nouveau souffle pour l'agriculture

Entrepreneuriat social, forte coopération entre activités, création d'emplois et respect de l'environnement... Installée dans son (éco) domaine normand, par des
entrepreneurs de moins de 30 ans, l'entreprise HYES innove et incarne l'avenir de l'ESS .

DECOUVRIR

PORTRAIT | Jakob Von Uexküll

Jakob von Uexküll a consacré ces trente dernières années au soutien et à la promotion d'initiatives cherchant à préserver l'héritage des générations futures. Fondateur d'un prix puis d'un Conseil mondial pour l'avenir, il poursuit une approche globale face à des enjeux imbriqués.

METIER | Des éditeurs pour panser les maux de la Terre

On compte environ 10 000 éditeurs en F rance, dont près de 5 000 indépendants. Parmi eux, quelques-uns sortent du lot en adoptant une ligne éditoriale engagée, voire militante, qu'elle soit solidaire, sociale ou écologique.

BONNES PRATIQUES | Lutter contre la pollution électrique

Depuis 2006, le recyclage des déchets d'équipements électroniques et électroniques ménagers
(DEEE ou D3E) s'est organisé en F rance, conséquence d'une directive européenne. Comment se débarrasser de ces déchets particulièrement polluants et de plus en plus envahissants ?

SOCIETE

LOGEMENT | L'ESS, une porte ouverte vers le logement solidaire

Près de 3,5 millions de Français ne sont pas ou mal logés. Avec ses quelque 270 millions d'euros investis dans le logement chaque année, l'économie solidaire a de nombreuses réponses à apporter à cette crise.

POLITIQUES PUBLIQUES | Tous égaux devant la culture ?

En dix ans, l'offre culturelle a nettement augmenté et son accès est théoriquement devenu plus facile pour les Français. En réalité, cela concerne surtout certaines classes sociales favorisées. Pour y pallier, les initiatives créatrices de passerelles entre artistes et public(s) se multiplient.

CONSO | Le nudge : un coup de pouce à la décision

Nous pensons agir rationnellement, mais nombreux sont les biais qui faussent nos jugements et nous font parfois prendre des décisions contraires à notre intérêt. Des économistes proposent de nous aider avec des « nudges », des coups de pouce censés pallier nos défaillances.

MOEURS | L'assistance sexuelle, entre tabous et interdits

Les personnes handicapées ont-elles droit à une sexualité? Difficile d'imaginer que cette question fasse encore débat en France. Pourtant, entre tabou de la sexualité et interdit de la prostitution, l'accès des handicapés au plaisir sexuel dérange.

REFLECHIR

GOUVERNANCE | L'Etat, une entreprise ?

Durant les trente dernières années, le pré carré traditionnel de la souveraineté s'est trouvé de plus en plus soumis à la logique gestionnaire. Le glissement d'un critère décisionnel reposant sur le principe de justice à un standard articulé à l'impératif d'efficacité constitue un révélateur de ce changement de paradigme gouvernemental.

SOCIOLOGIE | Le paradigme du don

« Ce sont nos sociétés d'Occident qui ont, très récemment, fait de l'homme un "animal économique". Mais nous ne sommes pas encore tous des êtres de ce genre. » Telle est la thèse défendue par Marcel Mauss, qui, refusant de voir en l'homme un être purement égoïste, prend appui sur ses travaux anthropologiques pour mettre au coeur de sa pensée la pratique du don.

OPINION

A contre-courant | Du vrai rôle de la finance

Subprimes, bonus, swaps, produits dérivés... autant de mots devenus familiers, sans qu'on en connaisse le véritable sens. Seule certitude, ils sont la cause des maux qui nous frappent aujourd'hui. A lors si la finance est source de tant de crises et d'inégalités, pourquoi ne pas tout bonnement nous en débarrasser ?

CULTURE

Hassaan MacKey & Apollo Brown « Daily Bread »

Il y a toujours dans le choix du titre d'un album un clin d'oeil à trouver. Pour celui dégusté ici, Hassaan MacKey vise on ne peut plus juste.

EN BREF

Évènements

Festival, concours, rencontres et salons pour imaginer et faire vivre le monde de demain

Ça m'intér'ESS

Mieux connaître l'économie sociale et solidaire.

Approfondir

Livres et DVD pour poursuivre la réflexion...

Choisir

Mode, déco, émissions, sites internet, lieux de consommation et de tourisme... responsables.
Chaussures équitables, mobilier en carton et sacoches branchées en chambres à air recyclées, ainsi que la sélection d'EcoSapiens.

Emploi

Retrouvez sur le site web les annonces de notre partenaire Ressources solidaires

Abonnez-vous en ligne sur www.interdependances.org.

Le magazine qui répond aux grandes questions que peuvent se poser les personnes intéressées par le VIH/Sida et les hépatites : prise en charge sociale, psychologique et médicale des personnes atteintes, état de la recherche fondamentale, de la recherche clinique...

Dossier : Bilan santé de l'ère Sarkozy
Augmentation du poids des dépenses de santé sur les assurés sociaux; diminution de la prise en charge de l'assurance maladie au profit des complémentaires privées ; fermeture de services hospitaliers les moins rentables ; accès aux soins de plus en plus difficile pour les étrangers... Le bilan du quinquennat qui s'achève appelle à placer la santé au coeur du débat présidentiel de 2012.

Abonnez-vous au Journal du sida en ligne.

A l'approche des élections présidentielles, 49 organisations nationales, dont le Groupe SOS, et 6 organisations régionales et locales ont rendu publique un texte visant à une refonte des politiques d'éducation et d'insertion des jeunes.

Ce texte « Pour un Big-Bang des politiques jeunesse ! » propose un droit pour tous les jeunes de construire leur parcours et vivre dignement.
Il a pour objectif de susciter le débat avec les différentes parties prenantes : associations, fédérations, mutuelles, mouvements de jeunesse, organisations de jeunesse et d'éducation populaire, structures d'insertion, d'hébergement ou de santé...

Cette proposition s'articule autour de 5 axes majeurs, complémentaires et indissociables :

1. instaurer un droit à l'éducation-formation tout au long de la vie,
2. organiser un service public de l'information, de l'orientation et de l'accompagnement des jeunes,
3. garantir des ressources financières aux jeunes,
4. faciliter l'accès des jeunes au travail dans des conditions décentes,
5. favoriser une plus forte implication des jeunes dans la vie collective.

Il s'agit pour chaque jeune d'être dans une situation de formation ou d'emploi qui lui permette de se qualifier, d'enrichir ses compétences, de disposer de moyens d'existence autonomes et de contribuer à la vie collective.

12 organisations sont à l'initiative de ce texte, 55 en sont signataires... Toutes s'accordent sur le fait que le thème de la jeunesse doit être une des priorités des partis politiques et des candidats dans la perspective des présidentielles de 2012.

Les propositions connues à ce jour restent dans le prolongement des interventions conduites depuis près de 35 ans, alors qu'elles ont désormais montré leurs limites et la nécessité d'un renouvellement ambitieux des politiques en faveur de la jeunesse.

Visitez le site bigbangjeunesse.net, découvrez le texte intégral et n'hésitez pas à signer la proposition.

Le Groupe SOS ouvre le premier centre de ressources parisien sur le développement durable

Qu'est ce que D_Ressources ?
A la fois centre de documentation et d'information sur le développement durable et domaines associés (économique, social et environnemental), c'est aussi un espace de travail ouvert à tous.

En outre, le centre est à même d'accompagner les volontaires dans la mise en place de leurs projets d'éducation au développement durable en conseillant des méthodologies et outils.

A qui s'adresse D_Ressources ?
Aux enseignants, éducateurs, animateurs et toute personne à la recherche d'outils de sensibilisation et formation au développement durable.

Aux familles et habitants du quartier en vue de favoriser les rencontres et échanges autour de thématiques données.

Qui est à l'initiative de D-Ressources ?
Ce projet est issu d'un partenariat entre le Centre social et culturel "La maison du Bas Belleville" (membre du Groupe SOS et géré par l'association Crescendo) et l'association la Case.

La maison du Bas Belleville se place dans le mouvement de l'éducation populaire et défend trois valeurs fondatrices : la dignité humaine, la solidarité et la démocratie. 

Quelles activités propose D_Ressources ?

• Projections vidéo

• Expositions

• Lectures 

• Ateliers pédagogiques

• Jeux

• Présentations de livres et outils pédagogiques

• Rencontres avec des auteurs, des éditeurs, des professionnels...

Pour en savoir plus, connectez-vous sur le site de D_Ressources.

Les rapports complexes entre médias et justice s'invitent à la table-ronde de ce 89ème AMPS. Cinq invités de marque viendront débattre avec vous de l'évolution du rôle et de l'influence des médias dans les affaires judiciaires. Des échanges qui s'annoncent animés !

INSCRIPTION GRATUITE MAIS OBLIGATOIRE EN CLIQUANT ICI

Rendez-vous le mardi 24 janvier au :

Comptoir général

80 quai de Jemmapes

75010 Paris

Métro République / Jacques Bonsergent

La saga Villemin, les deux procès du sang contaminé, l'affaire OM-VA, le dossier Péchiney, les procès Noir, Botton, Carignon, Outreau, ou, plus récemment, le scandale DSK... Autant d'affaires, autant de feuilletons qui ont passionné les Français, avec leurs personnages clefs, leur lot d'images chocs et de rebondissements. La justice est entrée dans l'ère de la com'... Au détriment de la vérité ? Peu de journalistes spécialisés s'en cachent, la couverture journalistique d'un procès n'est jamais neutre. La périodisation plus immédiate dans l'analyse des rapports entre le temps médiatique et le temps judiciaire ne le permet pas. Orienté ou non, le travail du journaliste influe nécessairement sur les débats, ne serait-ce que par sa propension au spectaculaire. La chronique judiciaire excelle dans la caricature, et les qualificatifs à l'emporte-pièce des gros titres font régulièrement fi de la présomption d'innocence. Des affaires comme celle d'Outreau ont démontré que les médias, loin de se constituer en contre-pouvoir, sont prêts à abandonner toute objectivité lorsque l'histoire qu'on leur présente fait vendre du papier. Il est loin le temps où Zola se servait de l'Aurore pour défendre le droit à la liberté d'un homme, et renversait l'opinion...

Nos invités du soir se pencheront précisément sur les mécanismes de fabrication de l'information judiciaire (construction de la figure de la victime, médiatisation des discours sécuritaires...) pour déceler la part de vérité dans le jeu du storyteller.
De nos jours, les acteurs du cirque judiciaire ont tous en tête le rôle de la presse, particulièrement dans les grandes affaires politico-financières... Entre les prévenus qui s'attachent à séduire les médias (Mesrine, Tapie), ceux qui pratiquent l'intimidation et la violence (Action directe)... Ils sont nombreux à penser qu'un procès peut se gagner dans la presse, voire que la préservation d'une image est plus importante que la condamnation elle-même.
En tant que magistrat, Alain Blanc, président de chambre à la Cour d'appel de Douai, nous dira s'il appréhende la communication comme partie intégrante de son métier. Il nous expliquera comment il gère les relations avec les médias : parasitent-ils nécessairement le travail, ne peuvent-ils pas également être utiles à la vérité ?
Car le rapport entre justice et médias ne se fait pas nécessairement au détriment des faits. La justice est depuis longtemps entrée dans l'âge démocratique, et doit aujourd'hui répondre de ses actes aux yeux de tous. Or les médias - quoi qu'on en dise - continuent de revendiquer le rôle de 4ème pouvoir : enquêtant, démantelant, martelant, n'hésitant pas à dénoncer haut et fort les abus quand ils existent, ou, à l'inverse, les atteintes à la liberté des magistrats. Tout comme la justice est garante de la liberté de la presse, la presse est peut être la meilleure défenseure de la liberté de la justice...

Justice et médias : rapports complexes qui soulève bon nombre d'interrogations.
Faut-il une instance de régulation capable d'encadrer et d'améliorer les relations entre juges et journalistes ? Comment stimuler l'intelligence des publics pour la chose judiciaire ? Filmer et diffuser les audiences des procès est-il souhaitable en France ? Une "Court TV" (chaine sensationnelle américaine consacrée à la justice) à la française est-elle possible ? Peut-on critiquer les juges ? Comment le politique s'immisce-t-il dans les rapports entre Justice et médias ? Autant de questions qui nous amèneront à évoquer les rapports entre médias et prisons : le personnage du prisonnier, la dénonciation des conditions carcérales et du manque de moyens, le traitement de la détention préventive, la réhabilitation et la réinsertion...

Entre quête du spectaculaire et pourfendeur d'une justice qu'elle voudrait impartiale, la chronique judiciaire se fait schizophrène. La vérité, rien que la vérité ? Tant qu'elle fait un bon papier ? Venez débattre avec nous de toutes ces questions lors de cette 89ème rencontre "Alter Mardi : parlons solutions".

En présence de :

• Alain Blanc, Président de la Cour d'appel de Douai, Président de l'Association Française de Criminologie

• Christine Boutin, Présidente du Parti chrétien-démocrate, Vice-Présidente du conseil général des Yvelines

• Pascal Vion, Ancien chef de cabinet à l'administration pénitentiaire, Ancien directeur de la maison d'arrêt de Rennes, Directeur du centre pénitentiaire sud-francilien à Réau

• Clément Weill Reynal, journaliste à France 3

• Philippe Zoummeroff, Ancien chef d'entreprise, spécialiste de la condition carcérale en France, ancien membre de la Commission Albran chargée de faire des propositions au Président de la République en matière de prévention des suicides en prison

Rencontre animée par Alain Grumberg, journaliste, co-fondateur de l'Agence Futuring Press

Entrepreneurs d'avenir, les Alter Mardis : parlons solutions et l'ISC Paris vous proposent une rencontre matinale exceptionnelle avec celui qui, dans son pays d'origine, vient en aide à plus d'un million d'habitants des bidonvilles, et a été consacré plusieurs fois Entrepreneur social de l'année aux Philippines et en Asie.

INSCRIPTION GRATUITE MAIS OBLIGATOIRE EN CLIQUANT ICI

Rendez-vous EXCEPTIONNELLEMENT le mercredi 1er février à 9h30 à :

l'ISC

10-12 rue Victor Hugo

92300 Levallois-Perret

Plan d'accès

Quand l'ancien cadre de Procter & Gamble se lance dans l'entrepreneuriat social en 2003, le défi qu'il se propose de relever est démentiel : 20 ans pour éradiquer purement et simplement la pauvreté dans un pays - les Philippines -, qui compte plus de 30 millions de pauvres.

Pour concevoir son projet et mieux saisir les enjeux, Tony choisit la méthode forte : il s'immerge plusieurs mois dans un bidonville de Manille pour comprendre les disfonctionnements de ce qui ressemble à tout sauf à une communauté unie, et évaluer les réels besoins de ces miséreux. Ce qu'il y voit lui permet d'accoucher d'une méthode, fondement actuel de l'ONG Gawad Kalinga.

Antonio Meloto crée depuis dans tout le pays ce qu'il appelle des « communautés villageoises ». Chacune comprend une cinquantaine de maisons, qui deviennent à terme des villages autosuffisants et écologiquement responsables. Au cœur du système : l'esprit d'entreprise, le partage de règles de vie communes et les concepts de « caring & sharing » : l'altruisme et la solidarité.

C'est en donnant la priorité à une formation à ces règles simples, puis à la construction de logements en dur en remplacement des bidonvilles, que le rêve de Tony prend corps. Les communautés se mettent elle-même à héberger des entreprises sociales innovantes (Bambike : vélos en bambou, Human Heart Nature : produits de soins bio- équitables...), permettant à ses membres d'exercer une activité professionnelle et de mieux exploiter les richesses naturelles du pays en les transformant localement.

9 ans après le lancement de Gawad Kalinga, ce sont déjà 2000 communautés qui jalonnent les Philippines. Un succès qui aurait été impossible sans le concours des entreprises locales et des pouvoirs publics qui ont financé certaines installations (électricité...) et mis à disposition des terrains. Faire travailler ensemble toutes ces parties prenantes dans un pays aussi complexe que les Philippines était l'autre défi de Tony. Une réussite dont la France aurait tout intérêt à s'inspirer, tant la co-construction paraît aujourd'hui essentielle pour répondre aux nouveaux enjeux sociaux et environnementaux.

De retour du « Forum Economique Mondial » de Davos, Antonio Meloto nous fait l'honneur de sa présence lors d'une rencontre exceptionnelle. Soyez au rendez-vous !

Attention : conférence en anglais, en présence d'un traducteur.

En présence de :

• Antonio Meloto,président-fondateur de l'ONG Gawad Kalinga

Pour le 90ème « Alter Mardis : Parlons Solutions » nous vous invitons à débattre des discriminations, alors qu'elles semblent se banaliser dans le paysage du travail en France. D'après le dernier baromètre du Défenseur des droits et de l'Organisation internationale du travail (OIT), 26% des agents de la fonction publique et 28 % des salariés du privé déclarent avoir été victimes de discrimination dans le cadre du travail. L'âge, le sexe, l'origine ethnique et le handicap sont les premiers facteurs de discrimination à l'embauche. Quel est l'état des lieux ? Quels sont les enjeux ? Comment lutter efficacement contre l'exclusion et la discrimination ? Existe-t-il des initiatives innovantes ? Quel rôle pour les grandes entreprises, les PME, les pouvoirs publics ? Avec Vincent Edin, journaliste et co-auteur de Chronique de la discrimination ordinaire, la table ronde tentera d'appréhender les discriminations pour en rompre le cercle vicieux.

INSCRIPTION GRATUITE MAIS OBLIGATOIRE EN CLIQUANT ICI

Rendez-vous le mardi 31 janvier à 19h :

à l'Institut du Monde Arabe

1 Rue des Fossés-Saint-Bernard

75005 Paris

Métro Jussieu

La discrimination est une réalité qui nous concerne tous. Elle tisse sa toile, renforcée par le déni de trop de responsables politiques et économiques, et pollue l'esprit citoyen. Tout en restant élevée, pourtant, la proportion d'individus témoins d'une discrimination affiche une baisse de 8 points dans la fonction publique par rapport à 2010 (34%) et de 6 points dans le secteur privé (38%). Un léger mieux qui accompagne une multiplication d'accords et labels diversité dans les entreprises, ainsi qu'une médiatisation accrue. Est-ce suffisant pour autant ?

Des entrepreneurs sociaux apportent de nouvelles solutions. Le cabinet de conseil Mozaïk RH travaille avec les entreprises pour dynamiser leur politique RH grâce à la diversité : en les accompagnant dans le recrutement et l'insertion de jeunes diplômés issus des quartiers populaires ; et en présélectionnant des candidats qu'il aide à valoriser leurs compétences. En 2010, Mozaïk RH a accompagné plus de 1100 jeunes et permis l'embauche de plus de 400 personnes. Le groupe Ares, quant à lui, s'efforce d'intégrer les personnes les plus fragiles et désocialisées, avec pour seul crédo de les reconstruire par le travail et de restaurer leur dignité, avec 67% de sorties dynamiques (emploi durable ou formation).Les grandes entreprises ont aussi leur rôle à jouer. Le groupe France Télécom Orange considère la diversité comme une chance, un vivier de talents et la possibilité de mieux répondre aux attentes de ses clients. Accenture, avec une initiative comme Passeport Avenir, lutte contre la discrimination géographique, sociale et culturelle chez les jeunes : un partenariat entre l'Etat, les lycées, les filières d'excellence de l'enseignement supérieur et le monde des entreprises cherche à faciliter leur accès au monde professionnel, à éclairer les enjeux au-delà des études, à susciter des vocations, à accompagner et donner confiance.

Du côté des PME, la CGPME Ile-de-France a engagé une démarche innovante en développant des actions partenariales pour créer des outils de sensibilisation, de professionnalisation et d'accompagnement des PME sur le recrutement des publics fragilisés et la gestion des parcours professionnels. Ici, l'enjeu est aussi de répondre aux impératifs économiques de l'entreprise.

En présence de :

• Saïd Hammouche, directeur et fondateur de Mozaïk RH, co-auteur de Chronique de la discrimination ordinaire, fellow Ashoka

• Olivier Ferrand, président-fondateur de Terra Nova

• Thibaut Guilluy, directeur général du groupe Ares

• Philippe Cohen, senior executive Accenture, chargé du programme Uteam Université et directeur du programme Passeport Avenir

• Laurent Depond, directeur de la Diversité du groupe France Telecom - Orange

• Abdellah Mezziouane, secrétaire général de la CPGME Ile-de-France

Rencontre animée par Vincent Edin, journaliste et co-auteur de Chronique de la discrimination ordinaire

"Le bonheur est né de l'altruisme et le malheur de l'égoïsme" (Bouddha). S'engager, c'est faire un choix, s'impliquer pour une cause et croire que ce choix sera facteur de changement, pour soi comme pour les autres. Pour ce 91ème "Alter Mardis : Parlons Solutions", venez échanger sur l'engagement citoyen. Des actions ponctuelles au changement radical de parcours professionnel, l'engagement citoyen est-il aujourd'hui à la portée de tous ? Comment chacun d'entre nous peut passer à l'action, à sa propre échelle ? S'impliquer en donnant du temps, de l'argent, parler d'une cause qui vous tient à coeur... Un tiers des français de plus de 15 ans, soit 15 millions de personnes, sont bénévoles ; et nous sommes en quête de toujours plus de sens dans notre travail. Moins nombreux sont ceux qui prennent la décision radicale de changer de vie pour s'engager dans l'entrepreneuriat social. Trois entrepreneurs viendront nous raconter leur engagement : qu'est-ce qui a motivé ce choix et quelle satisfaction en retirent-ils au quotidien ? Quels freins à la progression de leur nouveau projet ? Ont-ils pris un grand risque ? Auraient-ils pu réussir sans la carrière et les réseaux qu'ils s'étaient construits auparavant ?

INSCRIPTION GRATUITE MAIS OBLIGATOIRE EN CLIQUANT ICI

Rendez-vous le mardi 7 février au :

Comptoir général

80 quai de Jemmapes

75010 Paris

Métro République / Jacques BonsergentS'engager : une habitude, un réflexe, un plaisir ou une contrainte ? Pour trois-quart des français interrogés dans le cadre de l'enquête Radio-France Quel travail voulons-nous?, "être utile" fait partie des trois principales qualités du travail idéal. Si les raisons de l'engagement sont assez évidentes - donner un sens à sa vie, participer à un projet collectif, s'épanouir en agissant au quotidien ou en donnant de son temps - les leviers d'actions le sont beaucoup moins.

Christophe Chenebault, fondateur d'Evene, est l'auteur d'Impliquez-vous, ouvrage qui propose 101 actions solidaires et écologiques pour accompagner chacun à passer individuellement à l'action et pourquoi pas créer l'impulsion d'un mouvement collectif de changement social. Il viendra nous prouver que "tout le monde peut y arriver". Passerelles et Compétences, avec son directeur Ile-de-France Gilles Arbellot, ouvre les clés du bénévolat, en mettant en lien entreprises et associations, proposant des missions utiles et un éventail suffisamment large pour qu'il s'adapte aux possibilités de chacun.

A leurs côtés, trois entrepreneurs croiseront leur regard sur ces questions et viendront répondre à vos questions. Arnaud Poissonnier a fondé Babyloan, premier site européen de microcrédit solidaire, permettant à chacun de prêter de petites sommes à un projet ciblé. Ancien banquier, il nous dira notamment si son engagement tient au "hasard de la vie" ou à une vocation plus profonde. Catherine Berthillier, grand reporter, s'est appuyée sur son expérience de journaliste pour créer Shamengo, plate-forme d'information positive autour de portraits d'entrepreneurs sociaux, ayant pour vocation d'ouvrir de nouveaux horizons à tous. Enfin, Jérémie Boroy, après une carrière à l'UNISDA puis chez SFR, a fondé Aditus, association de promotion et de conception d'outils améliorant l'accessibilité pour les personnes handicapées, et Aditevent, entreprise visant à développer l'accessibilité des personnes handicapées aux événements grand public.La table-ronde sera suivie de l'annonce des quatre lauréats Ile-de-France du Concours SFR Jeunes Talents, partenaire des Alter Mardis pour cette soirée exceptionnelle !

En présence de :

• Christophe Chenebault, auteur d'Impliquez-vous!

• Gilles Arbellot, Directeur Ile-de-France de Passerelles et Compétences

• Arnaud Poissonnier, fondateur de Babyloan

• Catherine Berthillier, fondatrice de Shamengo

• Jérémie Boroy, fondateur de Aditus et Aditevent

La rencontre sera animée par Vincent Edin, journaliste indépendant. La rencontre sera suivie de l'annonce des lauréats Ile-de-France du Concours SFR Jeunes Talents.

La vague du recyclage à peine déferlée, le concept du cradle-to-cradle, ou recyclage infini, originaire des Etats-Unis, s'invite à notre 92ème Alter Mardi : parlons solutions. L'idée est simple : repenser du tout au tout le cycle de vie des produits, depuis leur conception jusqu'à leur fin de vie.

INSCRIPTION GRATUITE MAIS OBLIGATOIRE EN CLIQUANT ICI

Rendez-vous le mardi 14 février au:

Comptoir général

80 quai de Jemmapes

75010 Paris

Métro Réoublique / Jacques Bonsergent

A l'origine, deux hommes : Michael Braungart, chimiste allemand et William McDonough, architecte américain. Leur ouvrage "Cradle-to-cradle" (littéralement du berceau au berceau), publié en 2002, devient vite la bible de ceux qui veulent marier réussite entrepreunariale et bien-être environnemental. Désignés "héros de l'environnement" par Time Magazine, tous deux développent une certification et labellisent eux-mêmes les produits "cradeulisés" (C2C).

L'objectif est de remodeler l'industrie en imitant l'équilibre des écosystèmes naturels. Les produits nouvellement conçus sont ainsi soit biodégradables et s'inscrivent dans un cycle biologique les ramenant à la terre, soit recyclables et deviennent alors des déchets techniques qui, après usage, serviront de matière première à d'autres produits. Garantir cet usage circulaire suppose une implication des entreprises et une collaboration inter-sectorielle inédites. Un rêve impossible à mettre en œuvre ?Pas tout à fait, puisque depuis 2005, aux Etats-Unis, en Allemagne et en Hollande, près d'une cinquantaine d'industriels et 300 produits ont obtenu la certification "C2C" : un jean, des meubles de bureau, en passant par du savon pour les mains...
Et la France, dans tout ça ? Bien décidée à combler son retard, la France se met progressivement au cradle-to-cradle. Ainsi s'est ouvert le premier bureau français de l'EPEA (Environmental Protection Encouragement Agency) en juin 2011, qui accompagne les entreprises pour les aider à repenser du tout au tout leur processus de fabrication. Plusieurs entreprises commencent à "cradeuliser" leur production : Steelcase avec son mobilier de bureau, Tarkett et ses revêtements de sol ou encore Dim et ses collants conçus dans des textiles biodégradables, qui pourraient servir demain de compost agricole.

Le déchet, nouvel "or" vert ? Comment penser en amont la conception des produits ? Quelles solutions pour réduire les coûts de mise en conformité à la norme C2C ? Comment se positionne l'approche C2C par rapport à celle du développement durable ?

Le cradle-to-cradle, solution pour un monde sans déchet ? Venez nous faire partager votre avis pour ce 92ème AMPS !

En présence de :

• Anne-Christine Ayed, vice-présidente Recherche et Innovation au sein du Groupe Tarkett

• Christine Guinebretière, directrice d'EPEA Paris 

• Marion Huet, Responsable de l'Offre Stratégie chez EVEA

• Karine Lathulière, Marketing, Communication and Technical Manager chez Desso

• André Malsch, ancien directeur des initiatives développement durable de Steelcase et Président d'honneur du CREER

La rencontre sera animée par Jean-Claude Lévy, historien, géographe, conseiller au ministère des Affaires Etrangères et auteur de "Economie Circulaire : l'urgence écologique ?"

Parrain par mille, a pour objectif d'apporter un soutien affectif et éducatif à des enfants et des familles fragilisés à travers le parrainage de proximité.

Catherine Enjolet, fondatrice de l'association, participe à une rencontre sur le thème : « L'Adoption affective, une économie de don » au Palais Bourbon, le mercredi 14 mars 2012 à 18h30.

Cliquer pour agrandir

Inscriptions :

Nombre de places limité.

Les inscriptions se font par mail communication@parrainsparmille.org ou par téléphone 01 40 02 02 05.

Fermeture des inscriptions le vendredi 9 mars.

Citoyen, concret et interactif, le Nouveau consommateur est le 1er magazine consacré exclusivement à une consommation assagie. Pédagogique et pratique, il rend cette consommation durable accessible au plus grand nombre.

Au coeur de ce numéro, un dossier complet sur l'hypermédication : Comment les consommateurs peuvent-ils sortir du tout médicament et agir sur l'origine d'un mal avant de devoir en traiter les symptômes ?

Également au sommaire : une enquête bien-être sur la sophrologie au quotidien, un comparatif pour trouver le bon mobile, des fiches pratiques et bien d'autres sujets encore...

	Téléphonie comment trouver son mobile ? Le plus responsable des téléphones portables, c'est celui qu'on garde longtemps. S'il est basique et s'il présente un faible niveau de radiations, c'est encore mieux.
	La consommation collaborative: moins de biens, plus de liens! La crise aidant, nous sommes de plus en plus nombreux à remettre en cause certains actes d'achat: Dans ces conditions, n'est-il pas préférable d'emprunter ou de louer ?

	Bien-être : la sophrologie au quotidien. Une alliée contre le stress ? Certes, mais plus encore : exploration de nos perceptions, pleine conscience et connaissance de soi, optimisation des potentialités... Des apports insoupçonnés dans un état de rêverie profonde.
Chez soi
	Bienfaits et exigences du chauffage à bois. Le bois-énergie domestique constitue la première source d'énergie renouvelable utilisée en France. Peut-on se chauffer au bois tout en respectant l'environnement ?

Prenez-en de la graine! Comment faire entrer dans son assiette quantité de petites graines, des plus classiques au plus classiques aux plus exotiques. Au menu, saveurs, équilibre nutritionnel et énergie !

Retrouvez toutes nos offres d'abonnement sur notre site Internet.

Auxilia et Mobility+ (cabinet de conseil et d'études en mobilité durable) ont célébré leur union et donné naissance à :

Même métier, vision commune, valeurs partagées, locaux identiques, un ADN dans l'entrepreneuriat social : cette union n'est pas un hasard !
Regrouper ces structures et leurs savoir-faire, c'est choisir de mettre en commun :

• 10 ans au service d'un développement durable humain et imaginatif
  
• 30 experts
  
• 400 clients
  
• 5 expertises clés et complémentaire
• Agence Paris et à Lyon.

La mobilité durable : une expertise renforcée !

L'approche et l'expertise des équipes de Mobility+ se poursuit dans le but d'améliorer l'accessibilité de sites ou de territoires et optimiser les comportements de déplacements.
Conseil, coaching, études, maitrise d'ouvrage : c'est désormais Auxilia qui propose cette nouvelle expertise en matière de mobilité durable.

L'approche en matière d'accompagnement au changement des comportements de déplacements reste axée autour de la concertation du plus grand nombre.

Pour plus de renseignements connectez-vous sur les site Internets d'Auxilia et de La Manufacture Durable.

Mardi 21 février, une visite officielle de la crèche La maison de Gavroche était organisée.

L'établissement petite enfance de l'association Crescendo a été créée au printemps 2011, grâce notamment au financement du Programme d'Investissements d'Avenir (ou Grand emprunt).

Le Groupe SOS accueillait Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre des solidarités et de la cohésion sociale, et René Ricol, Commissaire général à l'investissement. La visite était l'occasion de rappeler les enjeux du Grand emprunt pour le secteur de l'Economie sociale et solidaire.

Ce programme a été mis en place dans l'optique de créer des emplois non délocalisables et proposer des solutions innovantes face aux besoins sociaux et familiaux des citoyens.

La Maison de Gavroche innove par son mode de prise en charge : elle dispose de 10 places pour des enfants en situation de handicap et adapte ses horaires en fonction des situations des enfants accueillis.

En savoir plus sur le Programme d'investissements d'avenir.

Après trois années d'existence, plus de 15 000 participants et bientôt la centième édition, les « Alter Mardis : parlons solutions » évoluent, investissent la toile et se déplacent chez vous.

A l'occasion du 94^ème AMPS du 20 mars au Comptoir Général, « Les politiques prennent-ils vraiment au sérieux l'entrepreneuriat social ? », au cours duquel quatre think tanks de sensibilités différentes viendront débattre du modèle de l'entrepreneuriat social, l'ensemble des échanges feront l'objet d'une diffusion live, l'occasion pour ceux qui ne peuvent se déplacer de comprendre, réagir et débattre des solutions portées.

Nous espérons vous retrouver nombreux sur la chaine dédiée à la transmission de nos rencontres sur www.altermardis.org/live ou sur notre page Facebook www.fb.com/AlterMardisParlonsSolutions.