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Les Troisièmes Rencontres de la Mobilité inclusive

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Organisées par le Laboratoire de la Mobilité Inclusive, dont Wimoov est co-fondateur, les Troisièmes Rencontres de la Mobilité Inclusive ont eu lieu jeudi 28 janvier, placées sous le haut patronage du Président de la République.

pleniere vue generalePlus de 300 acteurs du privé, du public et de la société civile ont participé à ce grand rendez-vous annuel, tous animés par un objectif commun : faire de la mobilité une source de développement économique et social et non un facteur d’exclusion.

Après être revenus sur les enjeux socioprofessionnels de la mobilité, les participants ont découvert plusieurs projets de terrain de mobilité inclusive. Ils ont ensuite réfléchi ensemble à la conception de dispositifs territoriaux d’aide à la mobilité dans le cadre d’un atelier de co-construction géant. La fin de la journée a été consacrée au débat sur les politiques structurantes de la mobilité inclusive.

De ces échanges multipartitesatelier coconstruction sont nées de nombreuses propositions pour développer une mobilité accessible à tous, et notamment :   

  • Coordonner localement, en partenariat avec les usagers, les acteurs privés, associatifs et les opérateurs de transports, la conception et la mise en œuvre de solutions de mobilité inclusive ;
  • Renforcer les incitations politiques, notamment en direction des opérateurs de transports publics, pour la mise en place de solutions de mobilité inclusive ;
  • Développer des modèles juridiques et économiques permettant d’associer plus encore le monde de l’entreprise aux initiatives de mobilité inclusive et d’assurer la viabilité financière des services proposés ;
  • Penser et adapter les nouveaux services à la mobilité aux publics les plus fragilisés ;
  • Associer mobilité inclusive et mobilité durable.

La parole à Florence Gilbert, Présidente du Laboratoire de la Mobilité Inclusive, en conclusion de ces Rencontres :
«De nombreuses pistes de solutions sont devant nous. Nous devons à présent franchir le cap des expérimentations pour passer à celui du déploiement de nos solutions à une plus large échelle. Il est essentiel de développer les modèles économiques qui nous permettront de financer durablement nos innovations ».

A l'occasion des Rencontres de la Mobilité Inclusive, Le Monde a consacré un article le 28 janvier intitulé "Vers une mobilité enfin accessible  à tous ?" sur les enjeux de la mobilité pour tous.


>> En savoir plus sur le Laboratoire de la mobilité inclusive.

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"Fluctuat Nec Mergitur"

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logo cafeLe 15 mars, le Café Fluctuat Nec Mergitur a ouvert Place de la République et entend être un reflet de ce que Paris nous inspire : joie de vivre, soif de culture, désir de fête. Ambiance conviviale et festive, cuisine saine et savoureuse, programmation événementielle riche et variée, tout est réuni pour que chacun se réapproprie ce lieu unique et atypique, symbole du vivre-ensemble et hommage à la culture parisienne.

Une cuisine saine, responsable et accessible

cafe extérieur

Le Café Fluctuat Nec Mergitur propose des recettes maison régulièrement renouvelées, des tapas à grignoter à toute heure de la journée et un brunch copieux le dimanche. Les viandes et poissons sont issus d'élevages responsables et les autres produits issus du commerce responsable.

L'approvisionnement des aliments se fait essentiellement auprès de producteurs locaux, bio ou de labels équivalents.

Des locaux responsables et durablesintérieur cafe

Le Café est pensé pour tous et accessible à tous : l'établissement ne comporte aucune marche et un menu en braille sera très prochainement disponible. Le bâtiment s'inscrit également dans une démarche forte de développement durable : son excellente isolation et sa ventilation naturelle lui permettent d'être d'une haute performance énergétique.
 

>> En savoir plus sur le Café Fluctuat Nec Mergitur.

>> A lire : "Le café de la République, à Paris, renaît de ses cendres", l'article du Parisien paru le 15 mars sur l'ouverture du Café.

 

Le 25 mars, le Café a été inauguré en présence d'Anne Hidalgo et de Jean-Marc Borello.

inauguration Anne Hidalgoinauguration anne hidalgo et jmb

Le GROUPE SOS compte 53 maisons de retraite

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Avec deux nouveaux établissements situés à Rieulay et à Montbronn, GROUPE SOS Seniors gère désormais 53 Etablissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD).

ehpad des onze villesÀ Rieulay…

Le 14 mars, l’EHPAD des Onze Villes (Nord) a intégré GROUPE SOS Seniors. L’établissement dispose de 71 places en hébergement permanent dont 12 en unité de vie protégée. Toutes les chambres sont individuelles. L’EHPAD pourra bénéficier d’un pôle d’expertise métier complet (soins, animation, qualité, hygiène, diététique) pour pérenniser et développer son projet d’établissement.


… Et à Montbronn

Le nouvel EHPAD Les Sources, situé à Montbronn (Moselle) a ouvert ses portes le 1er mars. L’établissement peut accueillir 64 résidents, dont 48 en hébergement permanent et 4 en hébergement temporaire. Il sera également composé d’une unité protégée de 12 lits pour les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et apparentée.

Zoom sur les EHPAD gérés par GROUPE SOS Seniors

carte ehpad


GROUPE SOS Seniors anticipe les défis d'aujourd'hui et de demain relatifs au grand âge et a lancé le programme Seniors CONNECT + au mois de mars. >> A lire, "Vieillir et rester chez soi", l'article du Républicain Lorrain paru le 18 mars à l'occasion du lancement de Seniors CONNECT +.

Djantoli rejoint le GROUPE SOS

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Djantoli, association qui facilite l'accès aux soins pour les enfants au Mali et au Burkina Faso, a rejoint le Pôle Solidarité Internationale du GROUPE SOS. Celui-ci développe les actions du groupe à l'international, notamment à travers les actions de Santé Sud et Développement Sans Frontières

banni_re_article_5_ans-05f0.jpgFaciliter l'accès aux soins

Djantoli a été créée en septembre 2007, avec pour objectif de proposer une nouvelle approche du développement, plus équilibrée et plus durable. L'association intervient au Mali depuis 2008 et au Burkina Faso depuis 2013. Djantoli s’est donné pour mission d’aider les mères à veiller au mieux sur la santé de leurs enfants, en développant des solutions durables pour faciliter le recours rapide aux soins. À partir d’une notion simple, « veiller », Djantoli a créé une méthode de suivi, d’alerte et d’accès aux soins qui permet de préserver durablement la santé des enfants. Djantoli s'appuie sur place sur un réseau d'agents itinérants professionnels et sur des outils technologiques (carnet de santé électronique).

Djantoli agit à travers 3 volets d'actions complémentaires :

  • Un système de suivi à domicile régulier des enfants, visant à détecter les maladies ;
  • Une assurance santé au centre de santé local pour lever la barrière financière du recours aux soins ;
  • Un programme d'éducation aux bonnes pratiques sanitaires afin de donner aux familles les outils pour prévenir, en amont, les maladies.

Comment ça marche ?

Sur la base d’une adhésion volontaire des familles, moyennant une petite contribution financière, les familles bénéficient de :

  1. Visites régulières à domicile : Un agent de suivi se déplace plusieurs fois par mois au domicile des familles pour collecter des données sanitaires simples sur l’enfant (poids, toux, nombre de selles, etc.).
  2. Suivi médical à distance : L’agent transmet ces données au personnel du centre de santé local grâce à une application mobile. Tous les jours, le personnel soignant du centre consulte les données et convoque les enfants à risque.
  3. Alerte à la famille : Lorsqu’un enfant est convoqué, l’agent retourne immédiatement alerter la mère à son domicile et la mobiliser pour qu’elle emmène son enfant au centre rapidement.
  4. Assurance santé : Lorsqu’elles emmènent leur enfant au centre de santé, les mères bénéficient de réduction sur les frais médicaux (consultations et médicaments).
  5. Causeries éducatives : Tous les mois, des séances de discussion collective sur un thème particulier (diarrhée, paludisme, allaitement maternel, etc.) ont lieu pour sensibiliser les mères à la prévention et améliorer leurs connaissances des pratiques sanitaires.
     
Djantoli

Le Centre Monceau a rejoint le GROUPE SOS

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Depuis le 12 janvier, le Centre de soin, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) Monceau, situé à Paris (8e), a intégré le groupe.

jeune.jpgCréé en 1980, le CSAPA propose une prise en charge médico-psycho-sociale, pour les personnes en situation d’addiction et leur entourage. Dispositif précurseur en matière de thérapie familiale systémique, fort d’une expertise de plus de 35 ans, le CSAPA reçoit les personnes en consultations individuelles et familiales.

Il gère par ailleurs une Consultation Jeunes Consommateurs (CJC) qui prend en charge les jeunes âgés de 14 à 25 ans, un accueil de mineurs orientés par le parquet du Tribunal de Grande Instance de Paris, et des consultations dans le cadre d’injonctions thérapeutiques orientées par la cellule spécialisée de l’ARS Île-de-France.

Le Centre Monceau propose également, indépendamment du CSAPA, une Consultation d’Evaluation d’Aide à la Parentalité (CEAP Monceau), activité au carrefour de l’Aide Sociale à l’Enfance et de la Justice (consultations familiales, visites médiatisées thérapeutiques, expertises). Grâce au dispositif « Familia-Monceau Formation », il organise des formations longues de thérapies familiales systémiques (cycle complet de 4 ans).

 

 

Zoom sur le Centre recherche théâtre handicap (CRTH)

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Créé en 1993 dans la ville d’Arletty, Courbevoie, le CRTH a rejoint le GROUPE SOS en juillet 2015. Situé à Paris (12ème arrondissement) le Centre s'est donné pour mission de rendre la culture accessible à tous : adultes, adolescents, personnes valides ou porteuses de handicap...

reportage_sur_le_crth-8517.jpgUne éducation artistique pour tous

Les activités du CRTH s’articulent autour de 4 grands piliers : l’innovation en matière d’accessibilité culturelle, l’accompagnement des usagers et professionnels, l’éducation artistique pour tous et l’emploi notamment à travers des formations. Toutes les actions du centre sont orientées vers une éducation et une formation artistique entièrement accessibles pour les personnes en situation de handicap et pour les personnes valides.

Emilie Bougouin, Directrice du CRTH, nous explique : « Cours de théâtre, expression corporelle, mise en scène… Nous proposons à nos élèves les disciplines artistiques présentes en milieu ordinaire, avec toute l’exigence artistique requise, mais avec le souci d’accueillir chaque personne, valide ou non valide ». Inclusive, la formation artistique dispensée par le CRTH est également tournée vers l’extérieur. Les élèves présentent régulièrement leur travail au sein d’associations partenaires et d’établissements médico-sociaux. Ils bénéficient également de sorties pédagogiques. Fruit de leur travail, les spectacles qu’ils donnent sont eux aussi accessibles à tous les publics. Voyants, personnes mal-entendantes, valides… Les spectacles du CRTH constituent une véritable expérience sensorielle, invitant le spectateur à voir autrement. D’ailleurs, le savoir-faire reconnu du CRTH en termes d’accessibilité de la culture suscite l’intérêt de nombreux établissements culturels. Emilie ajoute à ce titre « Nous proposons des solutions permettant d’accompagner et de fédérer des acteurs pouvant intervenir tout au long de la chaîne de l’accessibilité de la culture ». Plus qu’un accompagnement, c’est une véritable relation de confiance qui s’est développée entre l’équipe du CRTH et les professionnels accompagnés.

Rechercher, c’est innover constamment

CRTH

« Recherche signifie pour nous se confronter, s’interroger, expérimenter, échouer, réussir, poursuivre ». C’est ce qui s’est produit il y a plus de 20 ans au moment de la création du Centre. Emilie se souvient : « Au début nous avons organisé une pièce de théâtre qui se passait dans l’obscurité totale. Placement des spectateurs, jeu des comédiens dans un espace scénique placé au milieu du public, musique, diffusion de senteurs… Tout se déroulait dans le noir. Mettre des voyants en situation de handicap et rendre accessible un spectacle à un public déficient visuel  fut la première grande étape de la recherche pour le CRTH. » De fil en aiguille a émergé la question de l’accès des spectacles à tous les publics, puis des spectacles comme moyen de sensibilisation au handicap, notamment dans le monde professionnel. Aujourd’hui le CRTH propose aux professionnels de tout secteur des formations afin qu’ils apprennent à mieux intégrer les questions du handicap dans leurs structures et à développer une communication de leurs activités adaptée à tous les publics.

CRTHDes dispositifs qui s’exportent

C’est à partir de l’observation de ce qui se passe sur le terrain que le CRTH a développé ses outils. « Nous venons de parler de recherche et d’éducation artistique, c’est justement au sein d’Acte 21, notre école de théâtre, que nous avons réalisé une de nos plus belles innovations : les Souffleurs d’Images. Lors des sorties pédagogiques de l’école, des élèves voyants se sont très naturellement mis à souffler à l’oreille de leur camarades déficients visuels les éléments qui leur faisaient défaut. De là est née l’idée de modéliser l’expérience. Aujourd’hui c’est un service tout public en plein essor qui permet à une personne déficiente visuelle d’accéder où et quand elle le souhaite à l’œuvre culturelle de son choix, en autonomie. Le Lucernaire, le Théâtre Mogador ou encore le Musée Guimet : de nombreux établissements proposent aujourd’hui ce dispositif à leurs publics.» Sur le plan professionnel, le CRTH favorise l’insertion de ses élèves en les employant sur la production de ses activités culturelles et sur ses actions de sensibilisations. C’est aussi grâce à Acte 21 que le CRTH donne à ses élèves les clés pour s’épanouir dans leur vie professionnelle, en milieu artistique ou autre.

L’art et la culture pour changer le regard sur le handicap

Les actions du CRTH font indéniablement bouger les lignes, à commencer par celles du regard sur les différences. Finalement, à la question sur le rôle de l’art et la culture pour préparer la société de demain, Emilie nous offre une réponse pleine de promesses : « L’art invite à se projeter, à ouvrir ses sens et son esprit. A écouter, et donc écouter l’autre, le comprendre. Je pense d’ailleurs que l’innovation sociale, qui est au cœur du développement du GROUPE SOS, la recherche, la témérité d’oser explorer de nouvelles voies depuis 30 ans, participe à cette évolution du regard ».

 

Inventons l'agriculture de demain

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ferme avenirFermes d'Avenir vient de rejoindre le GROUPE SOS. L'association porte un projet sociétal ambitieux pour promouvoir un nouveau modèle d’agriculture, basé sur les principes de l’agroécologie et tenant compte du contexte socio-économique qui doit évoluer. L'objectif est d'accélérer cette mutation.

Fermes d'Avenir en quelques mots...

Créée fin 2013, Fermes d'Avenir est une association dont le projet principal est une expérimentation, sur une petite surface, de la viabilité économique et écologique de techniques agro-écologiques intensives, inspirées de différentes approches comme la permaculture. L'enjeu de cette expérience de terrain, située sur le domaine de la Bourdaisière en Touraine, est de valider la démarche d'installation de fermes à taille humaine et d'analyser les résultats en matière de productivité. D'autres microfermes verront rapidement le jour en favorisant la création de nombreux emplois.

ferme avenirQu'est-ce que la permaculture ?

La permaculture est une méthode de conception d'écosystèmes humains durables sur le plan environnemental, équitables socialement et viables économiquement. Son premier domaine d'exploitation et d'application a été l'agriculture, pour ensuite se diversifier et s'appliquer à l'habitat, la santé, le commerce... L'application de l'éthique et des principes de permaculture conduit à penser une agriculture qui s'inspire des écosystèmes naturels en reproduisant les interactions que l'on y observe. 

L'un des principes de la permaculture consiste à limiter au maximum les intrants et à tendre vers l'absence de déchets avec pour objectif de tout ré-utiliser. C'est pourquoi l'utilisation de toutes les ressources non renouvelables est réduite à son strict minimum car ces ressources ne garantissent pas la durabilité de nos systèmes, en plus d'êtres néfastes à l'environnement et à l'humain.

Les valeurs portées par Fermes d'Avenir s'inscrivent ainsi pleinement dans le projet du GROUPE SOS qui œuvre pour une économie responsable et une société inclusive, où chacun participe à la vie de la Cité.

>> En savoir plus

 

ferme avenir  ferme avenir

Candidatez pour participer à SafirLab

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Le 17 mai, SafirLab a lancé un appel à projet pour soutenir une vingtaine d'initiatives en faveur de l'innovation sociale et de la société civile. Vous avez jusqu'au 15 juin pour déposer votre candidature.

Le projetsafirlab

Né en 2012 à la suite des soulèvements démocratiques dans le monde arabe, SafirLab est un programme d’accompagnement pour la société civile engagée sur les questions de citoyenneté, de médias et de gouvernance locale. Le programme est coordonné par le Mouvement UP et l'association GINKGO du GROUPE SOS, en partenariat avec la Netscouade, agence digitale, et CFI, agence française de coopération des médias.

Permettre aux jeunes de devenir des acteurs de la vie de la Cité

L’objectif de SafirLab est de créer un dialogue durable avec des jeunes âgés de 20 à 30 ans et d'accompagner leur projet, notamment grâce à des tutorats, des outils et méthodes personnalisés mis à leur disposition. Le programme vise également à permettre l’émergence d’un réseau fondé sur des valeurs communes et le partage d’expériences.

Chaque année, SafirLab soutient une vingtaine de porteurs de projets d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, engagés sur les questions de société civile et des médias.

candidatez

Appel à projets : déposez votre candidature avant le 15 juin

L’innovation sociale sera au coeur de cette édition 2016. Les projets devront ainsi proposer une innovation sociale et ainsi répondre à tout ou partie de ces critères :

  • Réponse à un besoin social ou sociétal
  • Implication des acteurs concernés
  • Appropriation collective de la valeur
  • Fort lien avec le territoire
  • Innovation par le modèle économique

 

Save the date

Du 26 octobre au 6 novembre 2016, les candidats de la promotion 2016 de SafirLab seront rassemblés à Paris. Formations en gestion de projet, ateliers pitching, tutorat personnalisé, rencontres professionnelles :  tout sera mis en place pour faire de leur séjour un moment déterminant, aboutissant au développement de leur projet sur le long terme.

SafirLab édition 2016, les dates clés

  • 17 mai : ouverture de la plate­forme de candidature en ligne,
  • 15 juin 2016 : fermeture de la plate­forme de candidature en ligne,
  • A partir du 20 juin : prise de contact avec les candidat(e)s présélectionné(e)s et entretiens de sélection (par vidéo conférence),
  • Du 26 octobre au 6 novembre : SafirLab à Paris.

>> Déposez votre dossier de candidature

Zoom sur le Mouvement UP et GINKGO

mouvement up evenementPourquoi le Mouvement UP ? Parce que nous sommes tous capables d’observer les évolutions de la société dans nos environnements respectifs et d’identifier des réponses innovantes. Parce que l’alliance de l’ensemble des parties prenantes (citoyens, entreprises sociales, entreprises privées, pouvoirs publics, collectivités, chercheurs) fera naître les idées les plus ingénieuses. Enfin, parce que l’innovation sociétale appartient à tous et s’enrichit de tous.


 

gingkoGINKGO, anciennement Développement Sans Frontières, est une ONG française de solidarité internationale spécialisée dans le renforcement de compétences des associations du sud. Chaque année GINKGO envoie ainsi près de 150 volontaires auprès de 80 associations partenaires dans une vingtaine de pays (Asie, Afrique, Amérique latine) intervenant dans des domaines variés (entrepreneuriat social, développement durable, accès aux droits fondamentaux, éducation et culture, médico-social). GINKGO propose des formations autour de la solidarité internationale pour les volontaires en partance pour des missions de solidarité internationale.

 


Favorisons une nouvelle agriculture

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blue bees logoEn s'engageant aux côtés de Blue Bees, jeune plateforme de crowdfunding, le GROUPE SOS confirme sa volonté de relever le défi de la transformation agricole.

Il y a quelques mois, Fermes d'Avenir a rejoint le GROUPE SOS. L'association porte un projet sociétal ambitieux : essaimer des micro-fermes en agroécologie sur l'ensemble du territoire et promouvoir auprès des acteurs publics ce nouveau modèle.

Maxime de Rostolan, Directeur de Fermes d'Avenir, a lancé en 2012 Blue Bees, la première plateforme de finance participative dédiée aux projets d'agriculture et d'alimentation durables, c'est à dire écologiques, viables économiquement, sources d'emplois et de liens sociaux sur le territoire.

La transition écologique, et notamment la transformation du modèle agricole, fait partie des nouveaux défis du GROUPE SOS. A ce titre, Blue Bees a rejoint le GROUPE SOS en 2016. Les  valeurs portées par la plateforme s’inscrivent pleinement dans projet du GROUPE SOS qui œuvre pour une économie responsable et une société inclusive, où chacun participe à la vie de la cité.

Comment ça marche ?

site internet blue bees

Blue Bee facilite la mise en relation des acteurs suivants :

  • Les porteurs de projets innovants, afin de leur permettre de trouver les financements et l’accompagnement dont ils ont besoin.

  • Les internautes, en leur offrant la possibilité de participer à la réalisation de projets vertueux en prêtant à partir de 20 euros, et donnant à partir de 5 euros.

  • Les opérateurs de terrain, qui identifient, structurent et accompagnent la mise en place de projets (bureau d’étude, associations, ONG, entreprises de commerce équitable, fonds d’investissement, etc...).

>> En savoir plus sur Blue Bees

>> En savoir plus sur Fermes d'Avenir

 

Développement durable et éducation au FAM Maraîchers

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FAM maraîchersDéveloppement durable et éducation. C'est sur ces principes que le Foyer d'accueil médicalisé (FAM) Maraîchers, situé à Paris, a déployé un vaste programme visant à réduire l'empreinte énergétique de l'établissement. Les équipes du FAM ont fait appel à des apiculteurs pour installer en avril des ruches sur le toit du bâtiment. 

Le FAM est situé près de la « petite ceinture » parisienne, lieu végétalisé avec un écosystème propice à la production de miel. L’établissement vise à sensibiliser les résidents et les parisiens à la prise en compte de la qualité de leur environnement urbain et plus particulièrement du rôle des abeilles, indispensables à la reproduction des plantes (pollinisation) et donc à la vie végétale et animale.

FAM MaraîchersCette action s’inscrit dans le cadre d’un dispositif global de réduction de l’impact environnemental de l’établissement. Production photovoltaïque, toiture et terrasses végétalisées, système récupérateur de chaleur des eaux grises pour la production d’eau chaude sanitaire, lombricomposteur… Le FAM dispose de nombreux équipements écoresponsables et d’un système complet de tri sélectif. Enfin, les services de restauration du FAM respectent la saisonnalité des produits alimentaires et proposent, a minima, 5 % de produits issus de l’agriculture biologique.

Ouvert depuis janvier 2015, le FAM Maraîchers dispose de 56 places dédiées aux personnes de plus de 45 ans atteintes d’un handicap psychique. Le foyer associe l'ensemble des résidents à ces actions éco-citoyennes. L'établissement a été inauguré le 7 juin 2016 en présence de Ségolène Neuville, Secrétaire d'Etat chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion, Frédérique Calandra, Maire du 20ème arrondissement de Paris et Jean-Marc Borello, Président du GROUPE SOS.

 

Zoom sur Fermes d'Avenir

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Créée en 2013, Fermes d'Avenir a rejoint le GROUPE SOS en mars 2016. L'association a pour projet sociétal ambitieux de promouvoir un nouveau modèle d’agriculture, basé sur les principes de l’agroécologie et tenant compte du contexte socio-économique qui doit évoluer.

A l'origine du projet, un pari

maximeEn août 2012, Maxime de Rostolan, ingénieur de formation, a fondé l’association Fermes d’Avenir. Son pari ? Démontrer scientifiquement et par une expérience de terrain que l’agroécologie est plus rentable que l’agriculture conventionnelle. Louis Albert de Broglie qui l’accompagne dans ce projet, a mis à disposition une parcelle de son domaine de la Bourdaisière, situé à Montlouis-sur-Loire (Indre-et-Loire). C’est sur ce terrain qu’une micro-ferme en maraîchage est installée afin d’expérimenter le modèle agricole inspiré de la permaculture.

« Concrètement, l’idée est de monter une ferme sur 1,4 hectare et de prouver que l’on arrive à l’équilibre économique dès la quatrième année, que cette ferme coûte moins cher qu’un tracteur, qu’elle peut produire beaucoup plus que l’agriculture conventionnelle et que l’on peut créer 3  emplois sur 1,4 hectare » explique Maxime de Rostolan.

les enjeuxLe contexte socio-economique

L’agriculture ne représente plus que 2% de l’emploi en France, 5 fois moins qu’il y a 50 ans. Les sols, mis à mal par les pratiques d’exploitation mécanisées et chimiques, ne remplissent plus leur fonction régulatrice de biodiversité, de séquestration de carbone et de conservation des écosystèmes. La duplication sur le territoire du modèle agroécologique permettrait de préserver les sols et d’assurer la transition énergétique. Les indices écologiques plaident aussi en faveur de la réduction de la taille des exploitations agricoles, et donc de l’augmentation de la population active dédiée à ce secteur. Un facteur qui favoriserait la création d’emplois dans le secteur agroalimentaire.

un projet de sociETE

Fermes d'Avenir est une association qui expérimente, sur une petite surface, la viabilité économique et écologique de techniques agroécologiques intensives, inspirées de différentes approches comme la permaculture. L'enjeu de cette expérience de terrain est de valider la démarche d'installation de fermes à taille humaine et d'analyser les résultats en matière de productivité. D'autres micro-fermes verront rapidement le jour en favorisant la création de nombreux emplois.

Qu'est-ce que la Permaculture ?permaculture

La permaculture est une méthode de conception d'écosystèmes humains durables sur le plan environnemental, équitables socialement et viables économiquement. Son premier domaine d'exploitation et d'application a été l'agriculture, pour ensuite se diversifier et s'appliquer à l'habitat, la santé, le commerce... L'application de l'éthique et des principes de la permaculture conduit à penser une agriculture qui s'inspire des écosystèmes naturels, en reproduisant les interactions que l'on y observe. 

Pour Maxime, « il faut savoir travailler avec la nature et non contre elle ». Dans un écosystème équilibré, les espèces coopèrent entre elles et la permaculture valorise au maximum cette propriété. Un équilibre naturel que souhaitent favoriser les équipes de Fermes d’Avenir sur le domaine de La Bourdaisière. A titre d’exemple, les coccinelles aident à lutter contre les pucerons et remplacent ainsi les pesticides. 

Les 3 objectifs de fermes d'avenir

  • Créer une micro-ferme expérimentale qui soit rentable économiquement. Afin d’évaluer le modèle économique de la parcelle test, les équipes de Fermes d’Avenir relèvent tous les chiffres dont les chercheurs de l’INRA peuvent avoir besoin (le temps de travail, les coûts, l’évolution de la production).

  • Constituer une boîte à outils pédagogique : informer et sensibiliser sur les questions à se poser pour créer une micro-ferme s’inspirant de la permaculture et permettre à toute personne qui le souhaite de reproduire ce modèle.

  • Promouvoir ce modèle au niveau des politiques publiques nationales et territoriales pour le dupliquer sur l’ensemble du territoire. Fermes d’Avenir s’est dotée pour cela d’un comité scientifique. Celui-ci évalue et chiffre les impacts positifs de la parcelle-test pour inscrire le projet dans une réalité économique, condition nécessaire à sa duplication.

microfermeune nouvelle vision du territoire

Fermes d’Avenir met en place un nouveau paradigme de la société : des fermes qui respectent les écosystèmes naturels, proposent un modèle économique viable et sont porteuses d’un message positif pour les générations futures. L’ambition de Fermes d’Avenir ? Faire de ces micro-fermes les fermes de demain.

ils en ont parlé

En 2016, Fermes d’Avenir a suscité l’intérêt de nombreux médias. Le Monde a publié un article, le 1er mars, sur le parcours de Maxime de Rostolan et ses ambitions pour promouvoir le modèle agroécologique. Le 30 mars, il était au côté de Nicolas Hulot sur le plateau d’Europe 1 pour présenter le projet de Fermes d’Avenir. Les 3 et 20 avril, LCI et Challenges se sont respectivement intéressés à l’association. L'association Fermes d'Avenir a fait l'objet d'un reportage dans le magazine "Un oeil sur la planète", diffusé le 16 juin sur France 2. Le 28 juin sur LCI, Maxime de Rostolan était l'invité de la chronique "Vue sur la planète" pour présenter le projet Fermes d'Avenir et expliquer les principes de la permaculture.

 

>> Découvrez Fermes d'Avenir et son projet pour inventer l'agriculture de demain

 

Tout pour entreprendre !

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Rendez-vous le 4 octobre à 19h00 au siège d'Accenture (Happen Space) pour la 12ème édition des UP Conferences Dreamstorming. Ce programme accompagne de jeunes entrepreneurs pour répondre à leur nombreuses questions, accompagner leur projet et leur permettre de passer du rêve à l'action.

UP Conferences Dreamstorming ?

Dreamstorming

Issu d'un partenariat entre le GROUPE SOS et Accenture, les UP Conferences Dreamstorming permettent à des porteurs de projets d'avancer dans la réalisation de leurs rêves solidaires, en échangeant avec des spécialistes en innovation et des experts qualifiés. Comment lever des fonds ? Quels canaux pour ma communication ? Que vaut mon business-plan ? Quelles sont les formes juridiques les plus adaptées à mon projet ? Porter un projet entrepreneurial implique de se poser nombreuses questions. Les UP Conferences Dreamstorming proposent de soulever ces problématiques et d'apporter aux entrepreneurs des éléments de réponse et un accompagnement personnalisé, sur le long-terme. Chaque session porte sur une thématique spécifique.

Rendez-vous le 4 octobrE pour une nouvelle session

Les bonnes idées étant faites pour être diffusées et les bons conseils pour être partagés, l'équipe des UP Conferences proposent une soirée pour découvrir des projets d'avenir, de bénéficier de l'expérience de leurs fondateurs pour tout savoir de l'entrepreneuriat social. Rendez-vous le 4 octobre à 19h00 au siège d'Accenture (Happen Space), 118 Avenue de France (Paris 13ème). Les lauréats du programme UP Factory seront présents pour présenter leurs projets. Vous (re)découvrirez ces bâtisseurs du monde de demain traduisant, chacun à sa façon, l'innovation sociale, citoyenne et environnementale :Lauréats

  • Armonia Pierantozzi, fondatrice de Sitopia, premier laboratoire de transition alimentaire français vers des modèles durables, sociaux et humains qui verra prochainement le jour à Nanterre (Hauts-de-Seine),
  • Julie Mercier et Miguel Hisojo, qui proposent d'utiliser la réalité virtuelle au service de la médecine, à travers MedinReal,
  • Florent Guignard et Antoine Dujardin, qui ont créé Le Drenche, un journal de débat ayant pour vocation de donner à chacun les outils nécessaires pour comprendre et se faire sa propre opinion des sujets d’actualités,
  • Thibault Bastin et Barthélémy Gas, fondateurs de la plateforme Les Talents d'Alphonse, favorisant la création de liens intergénérationnels par le partage de savoir-faire,
  • Fabrice Vernay, porteur du projet HERB, un nouveau standard de Boutique Hôtel éco-responsable et solidaire,
  • Louis-Xavier Leca, qui a fondé Le Carillon, association s’appuyant sur les particuliers et les commerçants d’un quartier pour soutenir les personnes sans domicile,
  • Roukaia Benchekroun et Georges Majer, fondateurs de 1001 Rues, une initiative qui développe des méthodes et des outils de démocratie participative, placés au sein de projets d’aménagements urbains,

Ils échangeront avec deux experts de la création d'entreprises dont les modèles ont fait leurs preuves depuis plusieurs années.

UP FactoryMarjolaine Grondin, co-fondatrice et CEO de JAM, un service d’intelligence artificielle par sms au service des étudiants. Marjolaine a été primée par la prestigieuse MIT Technology Review, parmi les dix innovateurs français de moins de 35 ans de l’année 2016.

Erwan Kezzar, co-fondateur de Simplon.co, un réseau d’écoles dédiées à la programmation numérique, gratuites, s’adressant principalement aux personnes éloignées de l’emploi.

Le saviez-vous ? Le GROUPE SOS et Accenture ont co-é "Rêvez, Osez, Créez". Ce guide dévoile les clés de la création d'entreprises sociales.

>> Inscrivez-vous dès à présent. L'inscription est gratuite mais obligatoire.

>> En savoir plus sur le programme Dreamstorming, porté par l'équipe des UP Conferences.

 

UP Campus, le réseau (vraiment) social

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En 2014, le GROUPE SOS lançait un réseau social d’un genre nouveau. S’il reprend les codes classique - un profil, une messagerie, un fil d’actualité - d'un réseau social, il a la particularité de regrouper ses membres autour d’une même volonté : celle de changer le monde, chacun à son échelle.

up metzUP Campus est un réseau social qui fédère et valorise les initiatives positives de citoyens qui s’engagent au quotidien pour faire bouger les lignes. Gratuit et ouvert à tous, UP Campus rassemble sur sa plateforme plus de 40 000 membres et 750 projets innovants.

Chacun peut créer un profil, partager ses initiatives, solliciter l’aide de la communauté, publier des actualités et des annonces, échanger ses savoir-faire avec d’autres innovateurs, participer à des événements ou encore rencontrer d’autres membres engagés. UP Campus accompagne chaque personne pour concrétiser ses envies d'engagement et pour maximiser l’impact de ses projets. Outre le panorama des projets qui se lancent offert par la plateforme, il est également possible d’y trouver des compétences, ou d’apporter les siennes.

Utile au quotidien

home up campusRomain, inscrit dès la première heure, confie dans l'article du Figaro.fr paru le 24 décembre 2014 "Changer le monde par les réseaux sociaux, c’est possible !" s’être lancé « par curiosité », séduit par l’idée de se connecter avec des gens qui partagent ses aspirations. Aujourd’hui, UP Campus est un réflexe journalier. « Je m’y tiens au courant des prochains événements organisés, regarde qui y participe. » Un coup d’œil sur le fil d’actualité l'informe des dernières avancées des projets des membres qu’il suit, et même des opportunités à saisir. « On peut parfois faire de vraies rencontres », ajoute Romain, qui a eu accès à des opportunités professionnelles via ce réseau.

Le constat est similaire pour Sophie, qui reconnaît que sans UP Campus, elle n’aurait peut-être jamais travaillé sur son projet actuel, la création d’un espace de coworking en banlieue parisienne. Tout a en effet commencé par une rencontre via ce réseau, avant de prendre corps dans cette réalisation à 8 mains.

Une ouverture territoriale

C'est avec la conviction que l’action des citoyens est intimement liée aux besoins des territoires qu'UP Campus se décline aussi dans les villes. Décliné à l’échelle d’un territoire, et avec le soutien des réseaux locaux, UP Campus permet aux habitants de se fédérer autour de projets innovants qui répondent aux besoins de leur territoire, et facilite les relations entre des membres engagés, contribuant ainsi à maximiser leur impact.

UP territoiresDécouvrez toutes les plateformes :

>> UP Sceaux

>> UP Lille

>> UP Paris

>> UP Clermont

>> UP Metz

>> UP Suisse

 « L’entreprise, le monde associatif, politique… Il n’y a pas un univers plutôt qu’un autre qui a la solution à nos problèmes, l’essentiel c’est le dialogue, et c’est ce que l’on essaye de faciliter. Sur UP Campus, on se retrouve autour de ces enjeux, par affinité, entre gens qui veulent faire bouger les lignes ». Nicolas Froissard, Vice-président du GROUPE SOS et co-fondateur d'UP Campus.

Restez à l’affût des actualités d’un monde qui bouge

tout pour entreprendreUP Campus permet à ses membres de se tenir au courant et de s’inscrire à tous les événements organisés par le Mouvement UP et le GROUPE SOS : UP Conferences, UP Pro, UP Café… Un moyen pratique et efficace de ne manquer aucune actualité.

Save the date

Le Mardi 4 octobre aura lieu la 12ème édition des UP Conferences Dreamstorming, sur le thème « Tout pour entreprendre ! ». En présence de Marjolaine Grondin (JAM) et d’Erwan Kezzar (Simplon.co), les sept lauréats du programme UP Factory viendront présenter leurs projets. Vous (re)découvrirez ces bâtisseurs du monde de demain traduisant, chacun à sa façon, l'innovation sociale, citoyenne et environnementale

>> En savoir plus sur cet événement

>> En savoir plus sur UP Campus

 

Acte 21 : SAVE THE DATE

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Située à Paris (12ème), Acte 21 a été créée en 2004 par le Centre Recherche Théâtre Handicap (CRTH). L’accès à l’éducation artistique était très limitée à l’époque pour les personnes en situation de handicap ou bien ne favorisait pas assez la mixité des publics. Dispensant une formation artistique de qualité équivalente à celle proposée par les écoles de théâtre en milieu ordinaire, l’école met en œuvre le nécessaire pour accueillir les élèves, favoriser leur créativité et leur autonomie, et accompagner les professeurs.          

3 questions à Bruno Allain, professeur à l’atelier d’écriture depuis 2010.

CRTHQuelles sont les particularités de votre atelier d’écriture ?       

« La singularité de mon atelier et plus généralement d’Acte 21, est de mélanger les personnes en situation de handicap et des personnes valides. A chaque fois, les élèves ont chacun une vision du monde tellement différente… c’est une grande richesse par rapport à un milieu artistique ordinaire ».

Quel est le rôle d’un professeur au sein de cette école ?          

« Notre objectif est de révéler la singularité de chaque élève. Un élève est comme un disque qui tourne : le curseur s’éloigne du centre et nous, professeurs, sommes là pour recentrer les élèves sur eux-mêmes. La seule difficulté peut être la différence dans le rythme d’apprentissage des élèves : les premiers ont terminé d’écrire quand d’autres commencent. Ça nécessite de s’adapter !  ».

Que deviennent les élèves après leur sortie de l’école ?           

« Une élève fait des spectacles pour enfants. Un autre est acteur dans une compagnie. Marc-Henri est dans mon atelier depuis 2012 et écrit de magnifiques textes. Les anciens élèves réussissent, galèrent parfois, comme tout artiste finalement ».

Demandez le programme

La saison 2016/2017 a commencé à Acte 21. Les groupes se rencontrent et se forment pour entamer le travail de l'année.

En plus des ateliers hebdomadaires, découvrez les stages, parcours et sorties pédagogiques organisés par l'école de théâtre du CRTH,  partenaires.

Save the date 

Découvrez la percussion corporelle avec le musicien et compositeur Adrien Leconte. Rendez-vous les 25 novembre 2016, 6 janvier et 3 mars 2017 à 18h dans les locaux d'Acte 21, au 163 rue de Charenton (Paris 12ème).
>> En savoir plus

A découvrir également, le début de la collaboration entre l'atelier chant confirmé d'Acte 21 et la Compagnie Les Cabarettistes / Théâtre de l'Opprimé ainsi que l'actu des professeurs de l'école.

>> Découvrez toute l'actualité du CRTH et d'Acte 21

 

Acte 21

 

La beauté au service de la réinsertion

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L’association Joséphine a rejoint le GROUPE SOS. Ce salon de beauté s’est donné pour mission de redonner confiance aux femmes précaires  qui, à la recherche d’un emploi, perdent le courage de s’occuper d’elles. Comment ? En changeant leur image d'elle-même.

Une lutte contre l'exclusion des femmes

josephine salon de beauteEn 2006, Lucia Iraci fonde l’Association Joséphine à partir d’un constat simple : les femmes en situation de grande précarité n’ont ni le temps, ni l’envie de prendre soin de leur image. En travaillant sur la coiffure, l'esthétique, le maquillage, Joséphine aide les plus démunies à se réconcilier avec leur image. L'équipe du salon de beauté aide chacune d'entre elle à s’approprier leur image - une image positive et valorisée - tout en intégrant les codes sociaux qui faciliteront leur réinsertion professionnelle et sociale.

Si les bénéficiaires sont généralement redirigées chez Joséphine par des partenaires emploi ou sociaux, toute femme en situation difficile ou précaire peut avoir accès aux prestations du salon de beauté. Demandeuses d'emploi sans indemnités journalières, femmes monoparentales, femmes victimes de violences, chacune peut se rendre au salon situé dans le 18ème arrondissement de Paris.

Un suivi personnalisé pour toutes

les mots de la fondatriceL’équipe du salon est entièrement composée de professionnels dans leur domaine, capables de s’adapter aux besoins de chaque bénéficiaire. Chaque femme, à son arrivée, réalise un entretien privé avec une assistante sociale. Cela permet d'évaluer les besoins et d'établir une fiche strictement personnelle afin de réaliser un suivi adapté et complet. Une fois inscrite, chaque personne aura droit à six rendez-vous en coiffure et six en socio-esthétique répartis sur une période d’un an.

A chaque rendez-vous, le coiffeur s'entretient avec la cliente afin de définir avec elle la coupe et la couleur qui conviendront le mieux. Un maquilleur professionnel vient ensuite souligner le travail de la coiffure, en mettant en valeur le regard. Des vêtements peuvent également être prêtés, adaptés aux besoins, en vue d'un entretien d'embauche ou autre événement exceptionnel. Des conseils personnels sur les couleurs, les matières de vêtement, sont donnés par une conseillère en image.

Joséphine en bref

equipe josephineEn dix ans d’existence et de travail « pour la beauté des femmes », Joséphine a ainsi accompagné plus de 3000 personnes, à raison de 8 à 10 par jour. 50 bénévoles sont investis dans le projet, parrainé par Muriel Robin qui rappelle avec ses propres mots : "Ces femmes sont un peu de nous. Soutenons-les comme nous aimerions l’être à leur place. Tout peut basculer si vite". L'association propose par ailleurs à toute personne ou entité de participer, en offrant un don ou en parrainant une femme, ou en apportant des compétences. 

 

Joséphine rejoint donc le GROUPE SOS dans sa lutte contre l'exclusion, et s'inscrit dans la recherche constante de solutions innovantes pour faire reculer l'isolement et la précarité.

>> Découvrez en détails le salon de beauté Joséphine sur leur site Internet

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1 an de Mouvement UP

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Cette année, les équipes du Mouvement UP ont de nouveau souhaité démontrer que les innovations sociales et environnementales issues de la société civile étaient sans cesse plus nombreuses, et méritaient de gagner en audience. Retour sur une année riche en événements et rencontres.

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De grands ambassadeurs reconnus tels que Joseph Stiglitz, Cédric Villani, Carolyn SteelUP Fest 2016 ou Rob Hopkins, aux innovateurs que sont Bertin Nahum, Léonore de Roquefeuil et Isaac Getz, tous ont dessiné les contours de la transition vers un futur durable lors de nos rencontres. Ainsi, qu’il s’agisse de préserver la planète, d’imaginer la santé de demain, de renforcer la participation des citoyens, chacun a pu partager ses idées et ses solutions. >> Retrouvez-les sur le site up-conferences.fr.

Par ailleurs, la seconde édition du UP Fest, le 18 juin à la Bellevilloise, a également permis de donner la parole aux héros du quotidien, ceux qui construisent l’avenir dans l’intérêt des générations futures, à travers des ateliers et animations ludiques, des conférences originales, ou encore des démos d’innovations futuristes.

 

timeline UP

Le GROUPE SOS, recruteur de la diversité

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Le GROUPE SOS a été repéré comme l'un des 20 « recruteurs de la diversité » les plus innovants par le jury du Trophée. Le 9 décembre, une journée d'ateliers et de conférences valorisant la diversité en entreprise permettra au GROUPE SOS de présenter ses bonnes pratiques.

trophee de la diversite

Valoriser la diversité en entreprise

Lancé en février dernier par le Ministère de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, le Trophée du  Top Ten des recruteurs de la diversité vise à récompenser les meilleures pratiques en matière de recrutement de candidats de la diversité. Il porte sur les 3 étapes clés du recrutement : sourcing, évaluation, intégration. Courant Novembre, un jury d’experts a sélectionné les pratiques les plus marquantes. Ce jury, animé par la Fondation Mozaïk, est composé de responsables de l’Association nationale des directeurs des ressources humaines (ANDRH), de l’Association française des managers de la diversité (AFMD), du groupe Caisse des dépôts, du groupe Les Echos et d’experts de l’Emploi.

>> En savoir plus

Le GROUPE SOS parmi les 20 nominés

Cette nomination vient saluer le travail effectué depuis plusieurs années pour favoriser l’égalité des chances à l’embauche. Composer des équipes diversifiées et cohésives est l’un des leviers de pertinence pour le GROUPE SOS. Jérôme Bouron, Directeur des Ressources Humaines du GROUPE SOS, ses équipes et celles de Respect mag (le magazine de référence de la diversité) seront présents le 9 décembre pour la cérémonie de remise du trophée, en présence notamment de Pascal Bernard, Président du Jury du Top 10 et Animateur de la Commission Egalité professionnelle et Diversité de l’ANDRH, de Myriam El Khomri, Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, et de Martine Pinville, Secrétaire d’État chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’ESS.

>> En savoir plus sur notre politique de Ressources Humaines

Découvrez les initiatives d’entreprises innovantes

croire en leur talentPlusieurs conférences seront organisées lors de la cérémonie du 9 décembre, sur le thème de la diversité en entreprise, avec notamment des ateliers sur les bonnes pratiques en entreprise. Ouvert à tous, cet événement entend inspirer les entreprises quant aux bénéfices d’un processus de recrutement ouvert à tous les profils. Pour les entreprises, c’est la garantie d’un renouvellement qui apporte de nouvelles idées, de nouvelles compétences, ainsi que d’une très forte implication des nouveaux recrutés. Pour les candidats concernés, c’est une manière de rentrer enfin sur le marché du travail dont l’accès leur est souvent injustement refusé.

Rendez-vous le 9 décembre au Ministère de l'Economie à Bercy (Paris 12ème) pour la cérémonie de remise du Trophée.

>> Découvrir le programme

>> S’inscrire à la journée

 

UP le mag #14

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Pour sa 14ème édition, UP le mag consacre une enquête complète sur l'e-démocratie. Applications, plateformes au service de l’intérêt général… Ces nouvelles technologies citoyennes peuvent-elles redonner du souffle à la démocratie et redonner le goût d’agir ?

UP le mag 14"Les civic tech vont-elles révolutionner la démocratie ?"

Focus sur l’équipe de Change.org, la plateforme française de pétition en ligne aux 150 millions d’utilisateurs. Découvrez aussi l’interview exclusive de Loïc Blondiaux, professeur de sciences politiques à l’Université La Sorbonne, qui revient sur l’émergence des civic tech. Dans ce dossier également, une analyse des budgets participatifs visant à impliquer les habitants des communes dans le débat public.

"10 écogestes numériques à adopter absolument"

Consommation plus responsable, économies d'énergie, tri sélectif, usage croissant des transports en commun... Les bonnes pratiques se généralisent, mais qu'en est-il de notre utilisation des technologies numériques ?

Egalement au sommaire de ce numéro :

  • Un portrait de Mathieu Duméry et de Lénie Cherino, auteurs et comédiens à l’initiative des « Chroniques écologiques du Professeur Feuillage » qui visent à sensibiliser les internautes aux enjeux écologiques.
  • Une interview de Stéphane Guillon. Politique, écologie, engagement citoyen, parcours personnel... Les équipes d'UP le mag vous proposent d'en savoir plus sur l'humoriste.
  • Dans la rubrique Entre Nous, retrouvez le témoignage d’Hachem, un jeune soudanais réfugié à Paris. A découvrir également dans cette rubrique : un reportage sur l’association Enquête, qui tente de démystifier la religion dans les écoles.
  • Un déchiffrage sur l'impact du commerce équitable dans le monde.

>> Abonnez-vous pour recevoir ce numéro et les suivants chez vous

>> UP le mag, Respect mag, L'enquête Sport, UP TO YOU... Toutes les publications du GROUPE SOS sont sur la boutique médias. Parlez-en autour de vous !

 

Les 4èmes Rencontres de la Mobilité inclusive

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Organisées par le Laboratoire de la Mobilité inclusive, dont Wimoov est co-fondateur, les Quatrièmes Rencontres de la Mobilité inclusive ont lieu aujourd'hui, à l'Assemblée nationale. Comme chaque année, cette journée est l’occasion de réunir un vaste panel d’acteurs de la société civile, du public et du privé pour apporter une contribution concrète au débat public et aux solutions à mettre en œuvre en faveur de la mobilité inclusive.

4emes RMI« Mobilité quotidienne et territoires, enjeu de la République »

Plus de 300 acteurs sont attendus à cet événement qui a pour thème « Mobilité quotidienne et territoires, enjeu de la République ». Gouvernance des transports, mobilité et territoires ruraux... Les participants sont invités à échanger sur quatre questions majeures.

Pour aborder ces questions, des tables rondes thématiques sont proposées, des projets innovants sont présentés et récompensés lors de remises de prix. Placée sous le haut patronage du Président de la République, cette quatrième édition est introduite notamment par Olivier Faure, Député de Seine-et-Marne et Président de la commission aux transports à l'Assemblée nationale, et s'achèvera en fin de journée avec un discours de Florence Gilbert, Directrice de Wimoov et du Laboratoire de la Mobilité inclusive, et de Manoelle Lepoutre, Directrice Engagement Société Civile au sein de Total.

4emes RMILe Laboratoire de la Mobilité inclusive

Créé il y a quatre ans par Wimoov et Total, il a pour objectif de concevoir et de proposer des solutions de mobilité innovantes et accessibles à tous. C'est par une analyse des obstacles à la mobilité rencontrées par certaines personnes que le Laboratoire de la mobilité inclusive propose des solutions adaptées, notamment aux acteurs publics. La Poste, Pôle Emploi, la Fondation Michelin, Keolis, Transdev... Le Laboratoire de la Mobilité inclusive rassemble à ce jour 17 acteurs de la société civile et fait entrer la question de l'accès de tous à la mobilité dans le débat public.

"Une personne sur deux en réinsertion refuse un emploi à cause d'un problème de mobilité" note Florence Gilbert, Directrice de Wimoov. En parallèle, les difficultés de mobilité concernent également les actifs : 20% d'entre eux rencontrent des difficultés quotidiennes de mobilité en France. Les raisons ? Les coûts liés à l'acquisition et à l'entretien d'une voiture, le permis B qui est devenu un critère de recrutement par exemple.

Les obstacles à la mobilité en 4 chiffres

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L'info en plusdiplôme conseiller mobilité insertion

Le saviez-vous ? Le Laboratoire de la Mobilité inclusive a lancé en 2016 le premier diplôme inter-universitaire de Conseiller Mobilité Insertion.

>> A lire, l'article paru le 14 janvier sur le Laboratoire de la Mobilité inclusive

>> En savoir plus sur le Laboratoire de la Mobilité inclusive

 

Bienvenue aux équipes de Planète Urgence

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Le 19 janvier, l'association Planète Urgence a rejoint le GROUPE SOS. Elle devient à ce titre la sixième association du pôle Solidarité Internationale du groupe.

Planète UrgencePlanète Urgence

Depuis 2000, l'association agit en faveur du renforcement de l'autonomie des populations en situation de vulnérabilité et/ou d’isolement économique et social. Elle participe également à la protection de l'environnement. Planète Urgence intervient en Afrique, en Asie, en Europe méditerranéenne, en Amérique du Sud et aux Caraïbes.

Planète Urgence devient la sixième association du Pôle Solidarité Internationale du GROUPE SOS, aux côtés de PLAY International, de Santé Sud, de GINKGO - volunteers in action, de Djantoli, et d'Afghanistan Libre. Elle pourra bénéficier de la synergie de ces associations et notamment de la complémentarité de ses actions avec celles de GINKGO - volunteers in action, qui envoie chaque année près de 150 volontaires auprès de 80 associations partenaires dans une vingtaine de pays.

Les missions de l'association

Les actions de Planète Urgence s'articulent autour de 3 axes d'intervention :

  • Le renforcement de compétences pour les adultes. L'accès à la formation professionnelle continue est rendue très difficile pour des millions d'hommes et de femmes à travers le monde. Bien souvent, les compétences locales manquantes sont financièrement inaccessibles aux porteurs de projets. Artisans, coopératives villageoises, associations, groupements de femmes, étudiants, petits entrepreneurs, collectivités territoriales... Planète Urgence apporte et partage bénévolement des savoir-faire pour aider ceux qui agissent sur place.
     
  • L'appui socio-éducatif en faveur des jeunes. Moteur du développement, l'éducation et la culture sont primordiales pour endiguer la pauvreté. C'est avec cette conviction que les équipes et volontaires de Planète Urgence interviennent le plus souvent dans des écoles ou des centres culturels, situés en zone rurale. En coordination avec les professeurs et les animateurs, ils développent des activités ludiques et pédagogiques en faveur des jeunes en difficulté.
     
  • La protection et la valorisation de la biodiversité. En réponse à la destruction accélérée de l'environnement, Planète Urgence appuie des travaux de recherche et de recensement de la biodiversité. Elle soutient également des communautés locales à travers des projets de reforestation et de développement économique pour une exploitation vertueuse et durable des ressources naturelles. Grâce à son programme "Environnement & Développement", mis en place en 2006, Planète Urgence a planté 6 millions d'arbres en 11 ans.

Congé SolidaireFocus sur le Congé solidaire®

Planète Urgence propose des missions de Congé Solidaire®. Le principe ? Dans le cadre d'une mission de courte durée (de 2 à 4 semaines), des volontaires peuvent rejoindre, durant leurs congés, une structure locale d'un pays en développement, comme par exemple une association, un réseau éducatif, ou des scientifiques partenaires de Planète Urgence. Les volontaires peuvent financer leur mission individuellement ou être soutenus par leur employeur. Chaque année 60% des volontaires qui s'engagent sont soutenus financièrement par leur employeur.

Le Congé Solidaire® est une marque déposée par Planète Urgence. Il correspond à un protocole précis de mise en œuvre : identification d'un besoin, préparation au départ, encadrement du volontaire sur place, évaluation des résultats et des impacts des missions menées en faveur des populations locales et des porteurs de projets bénéficiaires.

De 2000 à 2017, le Congé Solidaire® par Planète Urgence, c'est :

  • 7 850 volontaires partis en mission
  • 1212 projets soutenus dans 39 pays, auprès de 439 partenaires locaux
  • 608 partenaires qui ont financé au moins une mission de Congé Solidaire®.

>> En savoir plus sur Planète Urgence

Solidarité InternationaleLe pôle Solidarité Internationale du GROUPE SOS

Le pôle Solidarité Internationale développe les actions du GROUPE SOS à l'international, notamment à travers les actions de PLAY InternationalSanté Sud, GINKGO - volunteers in action, Djantoli, Afghanistan Libre et Planète Urgence.

Au sein de ce pôle, une Direction du Développement et des Projets s’est créée avec pour ambition de déployer les actions du GROUPE SOS sur les thématiques de solidarité internationale. Cette direction porte également certains projets, notamment en Tunisie avec le LAB’ESS qui œuvre au renforcement des capacités des associations tunisiennes et des porteurs de projets d’entrepreneuriat social, mais également au Maroc avec un projet d’appui au groupe AMH qui agit sur la question du handicap. Par ailleurs, depuis début 2016, en même temps que démarrait le projet de soutien au MAIN (Microfinance African Institution Network), réseau de microfinance panafricain, un programme de promotion de l’ESS auprès des maires a été lancé au Cameroun. Enfin, depuis 2012, la Direction du Développement et des Projets du pôle Solidarité Internationale opère le programme SafirLab de soutien aux porteurs de projets d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient engagés sur les questions de société civile et de médias.

>> En savoir plus sur le pôle Solidarité Internationale

 

Votre taxe d'apprentissage au GROUPE SOS

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Chaque année, le GROUPE SOS développe des projets innovants destinés à répondre à des besoins sociaux avérés et permettant à plusieurs centaines de personnes d’accéder à l'emploi et/ou à une formation. Vous aussi, contribuez au développement des dispositifs de formation du GROUPE SOS.

La taxe d'apprentissage en 2016

Esat.jpg800 personnes ont été accompagnées dans le cadre de la taxe d'apprentissage, dont ...

  • 200 jeunes bénéficiaires d'un accompagnement personnalisé en vue de leur insertion professionnelle
  • 200 personnes en situation de handicap dont l'insertion professionnelle a été favorisée par la taxe d'apprentissage
  • 200 adolescents porteurs d'un handicap qui ont développé leurs compétences professionnelles grâce à des dispositifs de prise en charge adaptés.

Et en 2017 ?

insertionpro.jpgCette année, 7 structures du GROUPE SOS sont habilitées à percevoir la taxe d'apprentissage.

Pour la leur verser, il suffit de :

  • Sélectionner la structure du GROUPE SOS que vous souhaitez soutenir,
  • Envoyer votre souhait de versement à votre organisme collecteur avant le 28 février, en mentionnant le nom et l’adresse de l’établissement de votre choix,
  • Nous communiquer votre promesse de versement pour nous permettre de vérifier que vos choix ont bien été respectés.

>> Découvrez ces 7 structures


>> En savoir plus sur la taxe d'apprentissage 

Pour toute question complémentaire : taxe.apprentissage@groupe-sos.org

 

Développer les modes d'accueil pour les migrants

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En février, le GROUPE SOS et Singa France ont lancé un partenariat de deux ans permettant l’accueil de 400 réfugiés chez des particuliers volontaires pour une durée d’accueil temporaire de 3 à 12 mois. 

houseLe Dispositif CALM : L'Accueil de réfugiés par des citoyens

Face à l’urgence humanitaire engendrée par la crise migratoire, Singa France a lancé, en septembre 2015, le programme Comme à la maison (CALM). Le principe ? Grâce à une plateforme numérique, l’association met en relation des personnes réfugiées à la recherche d’un accueil temporaire avec des particuliers disposant d’une chambre pour les accueillir. D'une durée de 3 à 12 mois, ce dispositif d'accueil donne aux migrants la possibilité s’impliquer pleinement dans leur projet d’insertion. 

GROUPE SOS SOLIDARITÉS, PARTENAIRE DE SINGA FRANCE

Dans le cadre de l’expérimentation " Accueil citoyen " lancée par le Ministère du Logement et de l'Habitat Durable, le GROUPE SOS a développé un partenariat avec l'association Singa autour du dispositif CALM.

Le GROUPE SOS propose un soutien social aux réfugiés afin de faciliter leur insertion socio-professionnelle. Il les accompagne dans leurs démarches administratives mais aussi dans la recherche d’un logement pérenne. Le groupe leur propose également un suivi médical personnalisé.   

singaL’ASSOCIATION SINGA EN QUELQUES MOTS

Née d'un mouvement citoyen, Singa France oeuvre en faveur de l’intégration des réfugiés au sein de la société. L’association met en place des ateliers d'échange culturel, d'accompagnement pour les entrepreneurs et de mises en relation pour un accueil temporaire des personnes réfugiées. En favorisant le vivre ensemble, Singa souhaite déconstruire les préjugés sur l'asile.

 

>> En savoir plus sur le dispositif CALM

>> En savoir plus sur GROUPE SOS Solidarités

 


SAVE THE DATE : Forum de la parentalité

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Samedi 18 mars, l’association Crescendo organise, avec le soutien de la Mairie de Paris, le premier « Forum de la parentalité », un rendez-vous pour faire le plein d'idées et découvrir tout ce que Paris peut offrir aux familles pour leurs loisirs et leur action éducative.

Un événement convivial et DIDACtIQUE

rdvC’est pour présenter aux parents parisiens les nombreuses initiatives qui existent pour leur faciliter la vie, que l’association Crescendo organise, avec le soutien de la Mairie de Paris, une journée destinée à mettre à l’honneur le « bien-être » et le « bien-vivre » pour les familles de la capitale.

Ouvert à tous, ce forum s’organisera autour d’un village associatif, de conférences et d’ateliers ludiques parents-enfants permettant aux visiteurs de (re)découvrir une large palette de services et d’activités proposés à Paris, mais aussi de rencontrer des professionnels et des experts et d’échanger.

 

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L'association Crescendo

Depuis plus de 30 ans, l'association Crescendo assure la création, le développement et la gestion d’établissements d’accueil de jeunes enfants, tout en développant des dispositifs permettant de répondre aux besoins des familles ayant des enfants de moins de 6 ans. Afin d’être au plus près des besoins de son public, chaque lieu d’accueil s’inscrit dans une dynamique innovante, territoriale et partenariale entre les équipes, les familles et les pouvoirs publics. 

Ouverts à tous et conformes à aux valeurs de respect de la différence et de promotion de la mixité, nous accueillons dans nos structures, des enfants en situation de handicap et des familles en difficulté.

 

crescendo
 

>> En savoir plus sur l'association Crescendo

 

Inauguration FAM et FAS Marly

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Le 14 mars,  le Foyer d'accueil médicalisé le Foyer d'accueil spécialisé de Marly ont été inaugurés en présence, notamment, de Ségolène Neuville, Secrétaire d'État auprès de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion.

Jean-Marc Borello, Président du GROUPE SOS, Fabien Thiémé, Maire de Marly et Geneviève Mannarino, Vice-Présidente du Conseil départemental du Nord, Chargée de l’Autonomie, étaient également présents lors de cet événement.

fam

LES MISSIONS DU FAM / FAS MARLY 

Le FAM accueille des personnes adultes autistes, ayant besoin de soins et d'aide dans la réalisation des gestes de la vie quotidienne. Le FAS Marly accueille, quand à lui, des personnes adultes en situation de handicap mental ou psychique.

Encadrés par des éducateurs, les résidents bénéficient d’un suivi médical constant et d’un accompagnement vers l’autonomie.

 

famfas2 foyers d'accueil sur un même site

Situés dans 2 bâtiments attenants, le FAM et le FAS Marly disposent de 60 chambres individuelles adaptées : 

  • Le FAM Marly possède une capacité d'accueil de 24 places d’hébergement permanent, 2 places d'hébergement temporaire et 4 places réservées à l'accueil de jour.
  • Le FAS Marly héberge 20 résidents en situation de handicap psychique. Il accueille également 10 résidents déficients intellectuels qui avancent en âge (accueillis à partir de 45 ans) : 5 places sont réservées à l’accueil de jour et 5 places à l’accueil temporaire.
 
 

>> A lire : "La liberté de choix face au Handicap"
publié dans La Voix du Nord, le 14 mars 2017

 

 

Seniors Connect+, au service de la personne âgée à domicile

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L'an dernier, le projet Seniors Connect+ était lancé par GROUPE SOS Seniors et la Caisse d'Assurance Retraite et de la Santé au Travail (CARSAT) Alsace-Moselle. En 2017, Malakoff Médéric a également apporté son soutien au projet. Celui-ci vise à faire de nos établissements des plateformes de coordination des services à domicile, permettant aux personnes âgées de retarder, voire d’éviter leur entrée en établissement spécialisé, et d’améliorer la qualité de vie au domicile, en s’adaptant à chaque situation.

Conseiller et accompagner la personne âgée

Seniors CONNECTL’expérimentation est menée sur deux ans au sein des EHPAD Les Cèdres à Metz (Moselle) et Les Bruyères à accompagner les seniorsEpinal (Vosges), avant de pouvoir être étendue à d’autres établissements de GROUPE SOS Seniors.

Seniors Connect+ a pour objectif de conseiller et d'accompagner les personnes âgées isolées en leur proposant :

  • Un bilan personnalisé à leur domicile
  • Des produits, des services et l'intervention d'experts
  • Une aide aux démarches (aides financières, travaux...)
  • Un soutien par téléphone et un accueil à l'EHPAD selon les besoins de la personne âgée accompagnée.

Ces actions sont notamment coordonnées par une conseillère, basée en EHPAD. Elle assure le lien entre l'EHPAD et les seniors (et/ou leur famille) émettant une demande d'accompagnement.

Contacts :

Les EHPAD deviennent ainsi :

  • Des relais d’acteurs présents sur les territoires et œuvrant pour les personnes âgées (services à la personne, portage de repas, Services de soins infirmiers à domicile…) ou d’entreprises innovantes proposant des solutions technologiques d’accompagnement à domicile (téléassistance, appel malade, suivi de paramètres physiologiques, détection de chutes).
  • Des lieux et centres de ressources. Lieux de vie ouverts, les EHPAD ont tout à gagner à accueillir dans leur quotidien des non-résidents qui pourront bénéficier de leurs nombreuses activités et services dédiés aux personnes âgées : les seniors pourront découvrir l’EHPAD en douceur et profiter de ses services.
  • Des lieux facilitant l’accompagnement des personnes âgées à domicile et le lien social.

Un large périmètre d'intervention

offre de services


Le chiffre en plus

75Le nombre d'établissements et services gérés par GROUPE SOS Seniors, dont 61 EHPAD.

>> En savoir plus


 

Votez pour soutenir des projets innovants

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Chaque année, le concours La Fabrique Aviva propose à des projets répondant à un enjeu sociétal fort de grandir et d'augmenter leur impact. Cette année, vous avez jusqu’au 10 avril pour soutenir les structures et projets du GROUPE SOS en lice. Pour cela rien de plus simple : cliquez, connectez-vous et votez !

fabrique avivaLa Fabrique AVIVA

Économie circulaire, circuits courts, consommation collaborative, prévention, réinsertion professionnelle, agriculture durable, proximité… Partout en France, de nombreuses initiatives apportent à notre société des solutions innovantes, solidaires et utiles à tous. La Fabrique Aviva souhaite accompagner le développement de ces projets en leur offrant des moyens et de la visibilité auprès du grand public.

Les 200 projets ayant remporté le plus de votes accéderont à la finale et seront assurés de gagner au moins 2000 €. Un jury, composé d'entrepreneurs reconnus, désignera ensuite, 58 grands gagnants qui bénéficieront de soutiens allant de 5 000 € à 50 000 €.

votez !Comment voter ?

Du 14 mars au 10 avril, les internautes peuvent voter pour soutenir leurs initiatives préférées. Chacun dispose de 10 votes à répartir comme il le souhaite : soit en les attribuant à un seul et même projet, soit en les disséminant entre plusieurs idées. Les lauréats du concours bénéficieront du soutien et de l'accompagnement du dispositif La Fabrique Aviva pour développer leur projet. Les finalistes du concours seront dévoilés le 28 avril. 

Pour voter, c'est très simple. Il suffit de :

  • Créer un compte sur le site internet La Fabrique Aviva
  • Sélectionner le ou les projets que vous voulez soutenir
  • Cliquer sur voter

Soutenez les projets du GROUPE SOS

ReconnectReconnect, le cloud solidaire au service des personnes en situation de grande précarité: 

>>> Votez pour Reconnect

                                                            >>> En savoir plus

 

silverfourchSilver Fourchette, le programme national en faveur du bien-manger et du bien-vivre des seniors : 

>>> Votez pour Silver Fourchette

>>> En savoir plus 

 

logo               Joséphine, le salon de beauté qui agit pour l'insertion des femmes en situation de précarité                                                   en leurs redonnant confiance en elles : 

                >>> Votez pour Joséphine

                >>> En savoir plus

 

 

pro_ject

Pro’ject, portée par GROUPE SOS Solidarités, est un programme qui favorise l'intégration des réfugiés par l’apprentissage du français : 

>>> Votez pour Pro'ject

>>> En savoir plus

 

fa2.png

Compagnonnage, projet portée par Fermes d'Avenir qui propose une formation itinérante au maraîchage agroécologique, avec un volet intégration/formation des réfugiés : 

>>> Votez pour Compagnonnage

>>> En savoir plus

 

lbpLes Bons Profils, la plateforme qui met en relation les entreprises qui cherchent à recruter et les salariés en sortie de parcours d’insertion professionnelle : 

>>> Votez pour Les Bons Profils

>>> En savoir plus

 

mleziLe projet TSASI de Mlezi Maore , qui permet aux personnes marginalisées, sur le territoire de Mayotte, de participer à des ateliers en valorisant leur savoir-faire : 

>>> Votez pour TSASI

>>> En savoir plus

 

>>> En savoir plus sur le concours La Fabrique AVIVA

 

Portrait d'Adrien Tran

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Adrien Tran, Responsable Éducation à l’Environnement au sein de l’ADEPPA (Moselle)

portrait_atran« Déjà enfant, j’étais passionné par la nature et l’environnement avec un père berger, une mère professeur de biologie et une partie de ma famille qui travaille dans le secteur de l’agriculture en Lorraine. J’ai toujours gardé des liens très forts avec la nature. Après avoir obtenu un baccalauréat Scientifique option Biologie, j’ai souhaité m’orienter vers des études « concrètes » et j’ai opté pour un BTS Gestion et Protection de la nature, option Animation. Ces deux années m’ont redonné le goût des études et j’ai décidé de poursuivre avec une licence Écologie et Environnement à Metz. En 2008, alors que j’avais occupé un emploi saisonnier à l’ADEPPA, le Directeur de l’époque m’a proposé de m’embaucher en tant qu’animateur Education à l’environnement. J’ai arrêté mes études et j’ai commencé à travailler à l’ADEPPA. »

Comment s’est passée votre arrivée à l’ADEPPA ?

lesvaleurs.png« Dès mon arrivée, j’ai eu envie de moderniser les animations proposées autour de la nature. Je l’ai fait en respectant trois grands principes : émerveillement, connaissance et respect. En effet, un enfant émerveillé va être curieux et va vouloir comprendre, connaître. Cela l’amènera naturellement à ne plus avoir peur et donc à respecter. Petit à petit, j’ai développé les animations en ce sens, avec l’aide de l’équipe de l’ADEPPA et en particulier de la Directrice adjointe du Centre, ancienne institutrice, avec qui nous avons beaucoup travaillé en binôme. Aujourd’hui l’ADEPPA est le premier centre d’animations de classes découvertes en Moselle ».

En quoi consiste votre métier, quelles activités proposez-vous ?

verbatimatran

« À l’ADEPPA, nous proposons des activités sur un terrain de 13 hectares que nous essayons d’enrichir et d’embellir en permanence. Nous accueillons tout au long de l’année des enfants qui viennent avec leur école, dans le cadre de centres aérés ou de colonies nature. Nous leur proposons plusieurs activités autour de la nature : une mare, une ferme et un jardin pédagogiques. La mare pédagogique est un formidable outil : les enfants peuvent y observer comment fonctionnent toutes les interactions de la nature. C’est un véritable micro écosystème à portée de main. Par exemple, les enfants peuvent y observer des tritons, des grenouilles, des crapauds, et de très nombreux insectes et plantes. Ils peuvent également s’initier à la pratique du jardinage avec le jardin pédagogique pour lequel nous nous sommes inspirés des méthodes de la permaculture. Nous essayons de leur montrer que la terre est un organe vivant, de leur présenter la nature différemment: un écosystème où tout est utile et à sa place. Enfin nous proposons aux enfants un espace où ils peuvent être en contact avec les animaux, notamment les chevaux. Nous venons de terminer la carrière équestre et bientôt les écuries. Comme nous essayons d’être toujours innovants, j’ai proposé, avec un retour très favorable de la direction, d’avoir une approche différente de l’équitation, en nous basant sur l’éthologie (science de l’observation du comportement des animaux). Nous allons proposer à des enfants et des jeunes adultes en difficulté des activités ne consistant pas à la monte des chevaux mais aux moyens de communication qu’on peut développer avec eux en instaurant notamment un rapport de confiance ».

>>> En savoir plus sur l'ADEPPA

 

UP le mag #19

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Le nouveau numéro d’UP le mag est disponible. Dans cette 19è édition, coup de projecteur sur la relation entre les humains et les animaux, abordée sous l'angle de la biodiversité animale, du véganisme comme mode de vie ou encore de la zoothérapie.

UP le mag 19A la une : "Les animaux et nous : je t'aime moi non plus"
Le débat sur la condition animale, sur sa conscience, son intelligence, imprègne le débat public notamment grâce à des vidéos choc de l’association L214, visant à dénoncer les pratiques honteuses dans les abattoirs. À une époque où de nombreuses espèces sont danger de mort, UP le mag revient sur cette relation compliquée entre les animaux et nous. Dans ce dossier spécial de 19 pages, focus sur l’érosion de la biodiversité, le végétanisme comme mode de vie, l’animal au cœur des thérapies psychologiques et corporelles, ou encore les solutions pour mettre fin à la souffrance animale. Le plus du dossier ? Un entretien avec un paléontologue sur le retour...du mammouth.

Reportage : "Quand l’école enseigne la bienveillance"

À Trappes (Yvelines), la plupart des enseignants des écoles primaires du Réseau d'éducation prioritaire expérimentent une pédagogie fondée sur l'empathie. L'objectif ? Aider leurs élèves à mieux apprendre en développant la bienveillance et la coopération en classe.

Paul François,  le combat d'un agriculteur contre Monsanto

Dans un livre paru à l’automne dernier, l’agriculteur Paul François raconte son combat pour faire reconnaître Monsanto comme responsable de son accident lié à un herbicide fabriqué par la firme américaine. À travers son histoire, c’est aussi tout un système du “tout chimique”, auquel il croyait, qu’il dénonce aujourd'hui pour s’en éloigner au fur et à mesure. UP le mag est parti à sa rencontre.


A lire également ?

  • Un déchiffrage de l'énergie verte en France et dans le reste du monde. Occupe-t-elle vraiment une place de premier choix ? Quelles sont les actions concrètes entreprises sur le terrain ? La réponse en chiffres.
  • Un zoom sur ces citoyens irlandais qui s'opposent au projet de création de data centers Apple, Amazon, Microsoft et Facebook dans leur pays. Menace pour la biodiversité, consommation d'énergie considérable, créations d'emplois limitées... Découvrez en plus sur les data centers dans ce nouveau numéro d'UP le mag.
  • Les Up et les Downs de la rédaction.

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Rejoignez la nouvelle promotion du Comptoir

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le comptoirAprès 5 premières éditions réussies, Le Comptoir (Montreuil), lance son 6ème appel à candidature. Le Comptoir s’inscrit directement dans le développement économique et la dynamique entrepreneuriale du Grand Paris, à travers l’accélération de jeunes start-ups à fort impact social ou environnemental et la création d’emplois en Seine-Saint-Denis et en Ile-de-France.

 

CaNDIDATer EN LIGNE

le comptoirL’appel à candidature du Comptoir est ouvert à tout entrepreneur, âgé de 18 à 35 ans, qui a créé sa start-up depuis au moins 1 an et qui souhaite accélérer son développement. Le formulaire de candidature en ligne sera accessible jusqu'au 30 avril, sur le site du Comptoir : www.le-comptoir.co 

Les start-ups présélectionnées présenteront leur projet devant un Comité de Sélection finale fin mai. La sixième promotion, composée de 15 entrepreneurs, démarrera son incubation début juin, pour une durée de 12 mois.

LE PROGRAMME D’INCUBATION DU COMPTOIR

Les équipes incubées bénéficieront d’un parcours d’accélération comprenant un suivi individualisé, la mise à disposition d’un mentor des ateliers pratiques bi-mensuels autour de thématiques clés ou encore des permanences juridiques et comptables.

Durant toute la durée de leur incubation, les entrepreneurs auront accès à un open-space et à des bureaux, sur une surface totale de plus de 200m² située dans la pépinière de l’Atrium à Montreuil. Cet espace de travail leur offre ainsi l’opportunité d’assister aux événements de networking et de visibilité organisés par le Comptoir, de participer à des sessions de brainstorming et de prendre part aux synergies créées entre les start-ups et l’écosystème local.

 

comptoir

La Parole à Marie-Sophie Martin, chargée de projet incubateur - le comptoir

marie sophie« Qui dit “start-up” dit innovation, et nous pensons au GROUPE SOS que celle-ci doit être tout autant sociale que technologique, environnementale que numérique. A ce titre, Le Comptoir propose à Montreuil une offre unique : nos incubés peuvent s’appuyer à toutes les étapes de leur projet sur nos 35 ans d’expérience comme leader européen de l’entrepreneuriat social, fort de nos 16 000 salariés et de nos interventions dans 54 pays. En permettant à des jeunes entrepreneurs de développer leurs start-ups à Montreuil, nous visons aussi un double objectif : favoriser le développement de projets à fort impact, mais aussi générer de la création d’emplois en Seine-Saint-Denis et dans le Grand Paris. »                       

                                                                          

>> Déposez votre candidature sur le site du Comptoir

 


Du tarmac à la permaculture

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Fermes d’Avenir modélise à l’échelle de la Communauté d’Agglomération de Coeur d’Essonne un dispositif complet de transition agricole et alimentaire, avec pour objectif de nourrir 10 % des habitants et de fournir 50 % de la restauration collective en bio local dans les prochaines années. Acteurs de l’agroalimentaire, associations engagées en faveur de la transition écologique… Réunis autour de Fermes d’Avenir, un collectif de partenaires propose d’assurer le renouvellement des agriculteurs et d’installer 100 nouvelles fermes.

Une transition agricole, écologique et économique

fdaTout a commencé le 7 juillet 2017, lors de la signature d'un protocole d'accord entre le Coeur d'Essonne et l'association Fermes d'Avenir. Cette signature marque une étape importante pour la valorisation de l'ancienne base aérienne 217, située dans l'Essonne. Se trouvant à proximité du bassin de population le plus important de France, la valorisation de ce territoire induit des enjeux aussi bien agricoles qu'écologiques et économiques.

Le projet prévoit la création d’un pôle agricole biologique de 75 hectares. Il permettra aux communes voisines de développer une production bio et locale à destination, par exemple,  des restaurations collectives, notamment les cantines scolaires. Des activités diversifiées seront aussi prévues et développées comme le maraîchage, l’arboriculture, le petit élevage et les ateliers de transformation.

L'INFO EN PLUS 

fermes davenir coeur d essonneCe dispositif a été sélectionné dans le cadre des Investissements d’Avenir - Territoire d’Innovation et de Grande Ambition (TIGA) - qui permet la modélisation et la duplication de ce type d’initiatives dans différentes régions de France.

Fermes d'avenir en bref

Créée 2013, l'association Fermes d'Avenir a pour ambition d’accélérer la transition agricole. Elle s’adresse aux différents acteurs de la transition : agriculteurs et futurs agriculteurs, entreprises, territoires, propriétaires fonciers, citoyens et consommateurs. L’association est organisée autour de plusieurs activités : Production, Formation, Sensibilisation et Financement. L’équipe compte une quinzaine de personnes à Tours, Bordeaux et Paris.

>>> En savoir plus sur Fermes d'Avenir

 

Agenda UP Pro

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UP ProProfessionnels de terrain, pouvoirs publics, partenaires associatifs, journalistes… Les UP Pro sont les rendez-vous dédiés aux professionnels qui construisent l’innovation sociale au quotidien.

Le GROUPE SOS s’est toujours inscrit dans une dynamique d’innovation. Les 495 établissements et services du groupe constituent un champ d’observation unique en son genre, qui permet aux professionnels d'identifier les besoins sociaux sur le terrain. Pour trouver des réponses adaptées nous invitons partenaires associatifs, entreprises et pouvoirs publics à s’associer à notre réflexion. Ensemble, imaginons dès aujourd’hui les réponses aux problématiques sociales de demain...

 
UP Pro

Les prochains UP Pro

 

 

Le sport : trouver sa place, se dépasser, rêver

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La Coupe du monde de football 2018 a démontré que le sport permettait de partager, de dépasser les préjugés et de créer de la cohésion. Au sein du GROUPE SOS, le sport est régulièrement utilisé comme un outil d’inclusion. Valeurs, esprit d’équipe, confiance en soi, respect des règles… De nombreuses vertus sont véhiculées par tous les sports et bénéficient aux personnes accompagnées dans nos structures. Zoom sur plusieurs de ces initiatives.

Dépasser les différences...

... Avec Solisport

solisportPoint Sud a créé Solisport, le festival du sport solidaire. Son objectif ? Fédérer un large partenariat pour démontrer que les jeunes des écoles et des collèges ordinaires peuvent se mêler avec ceux accueillis au sein d’instituts spécialisés et porteurs d’un handicap mental. Ce sont près de 40 établissements rassemblant 500 jeunes qui ont participé à l’édition 2018, qui s’est déroulée à Marseille le 24 mai et à Vitrolles le 29 mai sous la forme d’Olympiades. Les sports choisis : l’athlétisme et le rugby sans contact qui véhiculent des valeurs de respect et d’esprit d’équipe. Pendant plusieurs mois de préparation, tous les jeunes participent à des rencontres où ils peuvent apprendre à se connaitre. Tous apprennent à vivre ensemble et à appréhender la différence de l’autre. « Notre projet est de permettre l’inclusion et le vivre-ensemble grâce au sport » explique Eric Dravet, Directeur de Point Sud.

... Pour inclure les réfugiés par le sport

PLAY International est une association pionnière dans le secteur du développement et de l’éducation par le sport. Considérant que le sport peut être un puissant outil d’intégration et d’inclusion, elle a lancé PlayLab, un espace collaboratif dédié à l’innovation sociale par le sport. Dans ce cadre, en collaboration avec GROUPE SOS Solidarités, une semaine placée sous la thématique « Sport et réfugiés » a été organisée du 18 au 22 juin. 7 projets venant de 7 pays européens, se focalisant sur l’inclusion des réfugiés, ont pu bénéficier d’une semaine d’accélération à l’Insep Paris et au PlayLab. Parmi ces projets : Aniko (Grèce) qui apprend aux réfugiés le métier d’arbitre, Bike Bridge (Allemagne) qui apprend à des femmes réfugiées à faire de la natation, du cyclisme ou à réparer des vélos, ou encore The Welcoming qui redonne confiance aux femmes en leur apprenant à nager avec leurs enfants.
 

Printemps solidaire

Se dépasser

En avant toute pour les Olympiades

Depuis 1972, chaque année au mois de mai, la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) organise le « Challenge Michelet ». Pendant 1 semaine, 11 délégations de jeunes venus de toute la France se réunissent pour une olympiade éducative, sportive et citoyenne autour de plusieurs disciplines : football, athlétisme, natation, basket-ball, cross, escalade, rugby… Parmi les participants, des jeunes accueillis par le Fil d’Ariane (Unité éducative d’hébergement diversifié) et par la Maison d’enfants à caractère social (MECS) Bois Renard, deux établissements du Groupe situés en Ile-de-France. L’objectif de ce challenge ? Aller au-delà du résultat sportif et travailler sur les valeurs du sport : cohésion de groupe, vivre-ensemble, tolérance, respect des règles, confiance en soi…

Footballeurs en herbe

CAES 37

« C’est de nouveau le comportement de nos jeunes qui a marqué les esprits. Ils se sont montrés encore une fois respectueux, fair-play et se sont appliqués à faire savoir à nos hôtes combien ils avaient apprécié l’initiative ». C’est avec ces mots que Berthrand Desplantes, animateur au CAES 37 (Maison d’enfants à caractère social et Unité pédagogique), est revenu sur la participation de 12 jeunes accueillis au sein de l’unité de vie Les Tuffeaux, à un tournoi de beach soccer (football de plage) organisé par l’Entente sportive Veretz-Larcay. A la remise des prix, les jeunes sont allés chercher leur trophée dans une atmosphère de groupe et un véritable esprit d’équipe. Un vrai moment de partage et de joie où les différences s’effacent pour laisser la place à la cohésion sportive.

 

                                                             jeunes a l elysee

Plongée à l'IME

Situé en Seine-Saint-Denis, l’IME Jean Richepin accueille des jeunes atteints d'un autisme sévère. Il leur propose, entre autres, des activités sportives variées, adaptées à chacun. Pour l’équipe de l’IME, le sport permet de travailler les axes principaux du projet de l'établissement : la communication, l'autonomie, la socialisation et, plus largement, l'inclusion dans notre société. Depuis 2012, 6 jeunes ont été inscrits au club de plongée de Bonneuil-sur-Marne, dont 3 ont obtenu leur premier niveau de plongée handisport. Chaque jeudi, les plongeurs en herbe suivent des séances supervisées. Au-delà de la progression technique des adolescents, ces séances favorisent leur inclusion au sein d’un club de sport et permettent le développement de la pratique de la plongée par un public atteint d'un handicap mental lourd.

ESAT Caravelle


Défi relevé

Le 12 juillet, l'Etablissement et services d'aide par le travail (ESAT) Caravelle a participé à un challenge de natation organisé par l’association COS.

L'info en plus

« Pour un foot, avec toi » : c’est le nom de la UP Conferences qui a été organisée le 29 août à Paris. Pendant 1h30, les participants ont pu embarquer pour un voyage autour du monde en découvrant des tournois de football pas comme les autres. A travers deux documentaires Spicee : « Joue-la comme Neymar », qui suit une équipe féminine de football qualifiée pour la finale de la Coupe 2016 des Favelas ; et « Des tirs pour la paix », qui raconte le projet ambitieux d’une avocate kenyane qui souhaite faire du foot un levier pour lutter contre les violences inter tribales et la culture du machisme. Suite à la projection, David Blough, Directeur de PLAY International, a pris la parole pour présenter un autre visage du sport, extraordinaire catalyseur d'innovation sociale.
 

UP Cafe
 
 

Coco Velten : un logement durable, un accompagnement global

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Fin 2018, Coco Velten accueillera à Marseille, à deux pas de la porte d’Aix, des personnes sans domicile fixe avec un objectif audacieux : les aider à accéder rapidement à un logement.

Un accompagnement global adapté à chacun

logementPour GROUPE SOS Solidarités, permettre aux personnes en situation de précarité d’accéder à un logement, c’est leur permettre d’entamer un parcours d’insertion durable. Le projet Coco Velten pose également fermement le principe d’un accompagnement global adapté à chaque personne, à ses besoins et à ses choix, y compris dans ce logement.

Lieu d’accueil à dimension sociale, Coco Velten a aussi été conçu, dans le cadre du Lab Zéro en partenariat avec Yes we camp et Plateau urbain, comme un site culturel et économique, ouvert à toutes et tous. Une synergie pensée pour favoriser la création de liens entre les différents publics et l’insertion des personnes en situation d’exclusion.


De la rue à un logement durable

logement

Promouvant la philosophie du “logement d’abord”, Coco Velten propose une mise à l’abri inconditionnelle aux hommes et femmes de tout âge sans domicile, seuls, en couple ou en famille, dès la sortie de rue. Cet hébergement sera une étape de transition et d’évaluation des besoins avant l’intégration d’un logement accompagné.

80 places seront dédiées à l’hébergement de ces personnes. Elles seront logées sur deux étages en chambres individuelles, collectives ou familiales en fonction des situations de chacun. Les espaces seront modulables pour mieux s’adapter.

Dès l’arrivée d’un nouveau ménage dans cet espace, l’équipe se mobilisera pour lui permettre d’accéder au plus vite à un logement adapté à sa situation personnelle. Une soixantaine d’appartements individuels, familiaux ou en colocation seront dédiés au service de logements accompagnés.

L'individu au coeur de l'accompagnement

A Coco Velten, c’est l’accompagnement qui s’adapte aux besoins et aux choix de la personne, tout au long de son parcours, indépendamment de son dispositif d’accueil.

Cet accompagnement global et personnalisé est rendu possible grâce à une équipe mobile pluridisciplinaire composée de spécialistes des milieux médicaux, sociaux et professionnels. Elle accompagnera chaque personne tout au long de son parcours, en s’adaptant à l’évolution de ses besoins. La personne doit pouvoir construire son projet de vie global, en s’appuyant sur ses compétences propres et en mobilisant les professionnels selon ses attentes.

Un accueil au coeur d'un lieu de culture et d'entreprenariat

coco veltenSi le volet social est au cœur du projet, Coco Velten est également un lieu de vie culturel et économique ouvert sur le quartier et les habitants de Marseille. Un espace de bureaux et d’ateliers sera dédié aux acteurs de l’économie sociale et solidaire. Des activités culturelles et citoyennes animeront les espaces ouverts à toutes et tous : cantine, sports, théâtre…. Yes we camp et Plateau urbain seront en charge de cette partie du projet.

Créer du lien social, développer l’estime de soi et l’ouverture culturelle, ou encore remobiliser et participer à l’insertion professionnelle… cet environnement particulier et les interactions qui en ressortiront pourront générer des effets positifs sur le parcours des personnes accueillies dans le cadre du projet social, et réciproquement sur l’ensemble des occupants du lieu.

Un modèle expérimental à dupliquer

Installé dans les anciens locaux de la Dirmed pour une durée de 3 ans, ce projet représente l’une des premières expérimentations permettant de valoriser un bâtiment inoccupé de l’Etat de façon temporaire, tout en apportant une solution au manque de places pour les personnes sans-abris. Un modèle prometteur puisque la capacité d’accueil évaluée dans les espaces vacants est supérieure au nombre de personnes SDF à Marseille. Une fois son efficacité reconnue, il pourra s’adapter à d’autres lieux en attente de projet.

>>> Nos actions en faveur d'un hébergement digne, pour chacun

 

marseille

 

So In So Good et VCycle s'engagent pour le recyclage

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vcycleIssue de la 4ème promotion de l'incubateur So In So Good (GROUPE SOS Pulse) situé à Hong-Kong, VCycle a lancé en septembre une campagne visant à collecter 10 tonnes de bouteilles plastique pour les recycler ensuite en objets durables.

La campagne « 10 tonne PET bottle collection challenge »

vcycleAujourd’hui à Hong Kong, 94% des déchets finissent en décharge ou dans les océans. Pourtant, il existe de nombreux waste pickers (« ramasseurs de déchets »), en majorité des femmes de plus de 60 ans, qui apportent une contribution significative au nettoyage des rues et au recyclage des cartons malgré la pénibilité de leur travail et le manque de considération de la société à leur égard.

VCycle propose une solution pour améliorer leurs revenus et la reconnaissance dont ces personnes bénéficient, tout en diminuant la pénibilité de leur travail et en augmentant la quantité de déchets recyclés. Pour ce faire, la start-up a commencé l’installation de points de collecte dans toute la ville : chaque waste pickers sera à terme en charge de 5 à 7 points de collecte proches géographiquement. L’usine de recyclage locale Lau Choi Kee (Chine) s’est engagée à collecter et reconditionner les bouteilles PET en une nouvelle matière première. Celle-ci a ensuite vocation à être transformée en divers articles du quotidien, tendances et réutilisables, grâce au travail conjoint de designers et de travailleurs en réinsertion. Selon la logique de l’économie circulaire, le bénéfice de la vente de ces objets sera reversé aux populations les plus démunies pour améliorer leurs revenus et leurs conditions de vie, et notamment les waste pickers grâce à l’initiative LOVE & CARE.

En parallèle, VCycle et Environnemental and Conservation Funds situé à Hong Kong, organisent des actions de sensibilisation du public, et en particulier des plus jeunes, à l’importance du tri des déchets et du recyclage grâce à des séminaires, des compétitions entre écoles et des évènements publics (« roadshows »). Des activités permettent au public d’expérimenter le quotidien d’un ramasseur de déchets quand les entreprises mobilisent leurs employés pour le nettoyage des plages.

> Pour en savoir plus sur la campagne

> En savoir plus sur VCycle

So In So Good, incubateur de start-ups sociales et environnementales

so in so goodLancé en 2016, So In So Good est un incubateur basé à Hong Kong qui exploite la puissance des solutions technologiques pour résoudre les problèmes sociaux et environnementaux.

Ce programme d’incubation est réservé aux start-ups basées à Hong Kong, qui n'excède pas 2 ans d’existence et dont le fondateur possède une formation d’ingénieur/tech. D'une durée de 6 mois, ce programme est réalisé en partenariat avec Hong Kong Science and Technology Park, le plus grand incubateur de la capitale. Il comprend l’accès gratuit à l’espace de co-working So In So Good, des formations personnalisées, un suivi individualisé ainsi qu’un accès à des réseaux locaux et internationaux de partenaires potentiels et de financeurs.

so in so good5 à 7 entreprises rejoignent l'incubateur tous les 6 mois. Depuis son lancement en 2016, So In So Good a accompagné le développement de 25 start-ups. Parmi les entreprises incubées, MyDrCoach, a développé une application en ligne permettant aux élèves des écoles primaires de prendre en photo leurs devoirs et d’obtenir rapidement de l’aide d’un professeur, pour une meilleure égalité des élèves face à l’apprentissage. Autre exemple : les services de santé étant très coûteux à Hong Kong et parfois insuffisants, de nombreuses start-ups ont développé des technologies pour faciliter l’accès à des soins de qualité à coût réduit et le maintien à domicile des personnes âges. Ainsi, Zunosaki propose des solutions robotiques pour permettre aux victimes d’un AVC de s’entraîner à domicile et d’accélérer la récupération, tandis que MedEXO développe des dispositifs robotiques portables permettant de supprimer les tremblements de la main pour les malades de Parkinson.

> En savoir plus sur So In So Good

GROUPE SOS Pulse, un réseau international d'incubateurs

groupe sos pulseSo In So Good est membre du réseau international d’incubateurs de GROUPE SOS Pulse. Afin de favoriser l’émergence de futurs champions de l’impact positif, GROUPE SOS Pulse participe à la création, à la cogestion ou au soutien de programmes d’accompagnement en France et à l’international : Belgique, France, Chine, Maroc, Tunisie, etc. Le réseau est présent aux quatre coins du monde où nos équipes d’experts accueillent et accompagnent les entrepreneurs désireux de faire germer puis grandir des réponses innovantes aux défis économiques, sociaux et environnementaux de notre planète.

> En savoir plus sur GROUPE SOS Pulse

 

 

Culture : une résidence pour analyser la mutation numérique

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En collaboration avec Google, GROUPE SOS Culture va mener un travail de recherche sur la transformation numérique du secteur culturel, en particulier des musées et des sites patrimoniaux. Ce partenariat se traduit par la mise en place d’un programme de résidence de 6 mois, conduit par les équipes de GROUPE SOS Culture et de Google Arts & Culture. Vous souhaitez faire partie du programme ? Vous avez jusqu'au 30 novembre pour déposer votre candidature.

verbatimL'irruption du numérique dans la culture

Ce projet a vu le jour face au constat suivant : en quelques années, les modes de production, de consommation et de diffusion culturelles ont été profondément modifiées, au point de développer des technologies et des usages qui ont inspirés une grande partie des modèles de la nouvelle économie. C’est particulièrement le cas dans les musées et les sites patrimoniaux. S’il a été pionnier en la matière, le secteur culturel reste peu ou mal informé sur les mutations numériques qu’il expérimente ou subit. De plus, malgré des analyses régulières de qualité menées par le Ministère de la Culture, peu de rapports portent sur la transformation des musées et des sites patrimoniaux. Pourtant, les choses continuent de bouger : ouvertures progressives de jeux de données, numérisation massive d’œuvres d’art, démocratisation de technologies nouvelles (IA, blockchain, VR, AR…), débats publics animés (mutations territoriales, accès à la culture, propriété intellectuelle, protection des données personnelles).

Une résidence pour quoi ?

La résidence a pour objectif d'étudier, de façon analytique et quantitative, les mutations numériques à l’œuvre dans le secteur culturel en France. Les candidats sont libres de proposer des angles d’approche et des périmètres qui seraient congruents avec leurs précédents travaux. Un rapport synthétique de recherche sera remis, rendu public et mis en avant, notamment à l’occasion d’une conférence, à l’issue de la résidence. Le / la chercheur/euse retenu/e, en sa qualité de "Google Program Fellow", sera intégré/e dans une communauté d'une vingtaine de Fellows répartis en Europe et en Afrique.

rejoignez la résidence !

cultureLa résidence est un lieu d'émergence de nouveaux talents : vous êtes tout juste diplômé, jeune travailleur ou chercheur ? Vous pouvez postuler dès à présent et jusqu'au 30 novembre, en vous assurant de remplir les critères suivants :

  • Justifier d'un diplôme équivalent a minima à un master dans les disciplines suivantes - ou connexes : économie, sociologie, sciences politiques, sciences de gestion ;
  • Faire preuve d'un fort intérêt pour les nouvelles technologies et la culture ;
  • Maîtriser l'analyse de données ;
  • Maîtriser l'anglais conversationnel ;
  • Avoir un excellent relationnel.
NB : Aucun dossier reçu hors-délai ou incomplet ne pourra être accepté.


> Postuler dès à présent

> La parole à Alexandre Lourié, Directeur Général GROUPE SOS Culture

rechercheLa résidence en 4 questions

  • Quand la résidence ouvrira-t-elle ses portes ?

Elle ouvrira du 1er janvier au 30 juin 2019.

  • Où se situera-t-elle ?

La résidence aura lieu à FAR, l’accélérateur de projets culturel du GROUPE SOS, situé au 15 rue de la Fontaine au Roi (Paris 11e). FAR rassemble près de 250 entrepreneurs, artistes et associations qui opèrent dans le champ de la culture et des médias, afin d’y expérimenter des dynamiques collaboratives tournées vers l’innovation.

  • Quels moyens sont attribués au chercheur sélectionné ?

Le candidat sélectionné se verra attribuer une bourse de 12 000 euros pour effectuer son travail de recherche, ainsi qu’un cycle de rencontres avec les équipes de Google Art & Culture et de GROUPE SOS Culture.

  • Quand les résultats de l'étude seront-ils publiés ?

Ils seront rendus publics à partir de juin 2019.

GROUPE SOS Culture en bref

cultureLa culture est un vecteur de lien social. Elle favorise l’ouverture aux autres, l’esprit critique et le vivre-ensemble. Fort de cette conviction, GROUPE SOS Culture se fixe pour mission de la rendre innovante, d’ouvrir l’accès à la création et aux œuvres au plus grand nombre et de soutenir l'entrepreneuriat culturel et la créativité sous toutes ses formes. Les activités de GROUPE SOS Culture couvrent notamment l’ingénierie culturelle avec l’agence Le troisième pôle, l’incubation de startups de la culture et des médias avec CREATIS, la fabrication de cinéma/audiovisuel/VR avec Commune Image, les médias avec le Mouvement UP ou encore la restauration de patrimoine avec l’association d’insertion Acta Vista.

> En savoir plus sur GROUPE SOS Culture

Google Arts & Culture

Les expérimentations menées par Google Arts & Culture avec ses musées partenaires permettent l’émergence de formes d’art et d’usages culturels nouveaux. Elles permettent aux artistes et aux institutions de franchir les barrières techniques qui réservaient hier certaines créations et innovations aux docteurs en informatique.

 

Favoriser l'accès à la santé sexuelle au Burkina Faso

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En septembre, un nouveau programme d’éducation à la santé sexuelle et d’accès à la planification familiale pour les populations défavorisées des quartiers périphériques de Ouagadougou (Burkina Faso) a démarré, avec le soutien de l’Agence Française de Développement. Le programme repose principalement sur deux axes : la visite au domicile des patients par des agents de médiation sanitaire et leur suivi à distance grâce à l’application mobile Djantoli.   

chiffre cleUn accès à la santé sexuelle et reproductive pour toutes et tous

Malgré l’amélioration de l’information et de l’accès à la contraception ces dernières années au Burkina Faso, une part importante des besoins restent non-satisfaits, notamment chez les femmes jeunes, issues des couches sociales défavorisées. Ainsi, 20% des femmes en union de 15-49 ans n’ont toujours pas accès à la contraception.

Ces femmes résident pour la plupart dans les territoires qualifiés de « non-lotis » par les autorités sanitaires burkinabé : constitués d’habitats informels et précaires, ces quartiers sont de plus en plus peuplés du fait d’une importante croissance démographique et de l’exode rural mais sont peu dotés en services de base (eau, électricité, routes). De plus, ces quartiers font face à une grande vulnérabilité sur le plan sanitaire et social. Pourtant, l’accès des femmes et des hommes aux services de santé sexuelle et reproductive est un droit fondamental et un levier déterminant pour atteindre les objectifs nationaux et internationaux de développement durable.

Un modèle d'intervention innovant

Le projet Djantoli au Burkina Faso s’articule parfaitement avec les axes prioritaires de l’État burkinabé : rapprocher les populations périphériques des quartiers « non-lotis » de Ouagadougou des services de santé publics. Dans ce but, le projet prévoit de former les agents communautaires de trois organisations locales partenaires (IES Femmes, ADAPMI et ABBEF) et de cinq Centres de santé et de promotion sociale (CSPS) à l’usage de l’application mobile Djantoli. Les patients qui le souhaiteront pourront demander à mettre en place avec les agents de médiation sanitaire un parcours d’accompagnement individuel, comprenant notamment un suivi sanitaire à distance grâce à l’application mobile Djantoli ainsi qu’un service d’envoi de SMS d’information en fonction des besoins identifiés.

Par ailleurs, 18 000 personnes seront sensibilisées à travers des séances de sensibilisation à l’éducation sexuelle dans les centres de santé, lycées et lieux publics ainsi qu’à travers des causeries éducatives communautaires.

Enfin, des dotations en équipement seront effectuées si nécessaire, après évaluation des besoins, afin d’améliorer la qualité globale de la prise en charge dans les cinq CSPS partenaires du projet.

Djantoli en bref

djantoliDjantoli, anciennement Pesinet, a été fondée en 2007. Pour améliorer durablement la santé maternelle et infantile en Afrique de l’Ouest, l’association propose des solutions qui allient nouvelles technologies et interventions de proximité, favorisant l’accès des familles aux systèmes de soins existants. La principale solution développée repose sur un réseau d’agents de médiation sanitaire professionnels et un outil de « carnet de santé connecté » sur téléphone mobile pour faciliter le suivi, la prévention et l’éducation sanitaire. Les projets Djantoli sont implantés au Mali depuis 2008 et au Burkina Faso depuis 2013. Au total, 9 000 enfants ont été suivis en 2017 dans 23 centres de santé partenaires.

Fort des complémentarités entre les projets Djantoli et ceux mis en œuvre par l’ONG Santé Sud, un rapprochement est en cours. En effet, Santé Sud défend le droit à un accès effectif aux soins pour les populations les plus vulnérables en France et à l’étranger. L’association Sud fait également partie du secteur Action Internationale du GROUPE SOS.

>>> En savoir plus sur Djantoli

>>> En savoir plus sur Santé Sud

 

 


Un nouvel établissement dans les Alpes

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Le 9 novembre, le Centre médical La Source a rejoint le GROUPE SOS. Il dispose de 60 lits et est situé à Saint-Léger-les-Mélèzes, près de Gap dans les Hautes-Alpes.

Une prise en charge de qualité dans un cadre ressourçant

ssr la sourceCréé en 1953, l'établissement a pour mission d'assurer des soins médicaux, de rééducation et de réadaptation, de prévention et d'éducation thérapeutique, dans des conditions de qualité et de sécurité optimales. Situé en altitude (1200m), il offre aux patients un cadre ressourçant, face aux Alpes et à proximité du Parc National des Ecrins.

Le Centre accueille jusqu'à 60 patients, âgés de plus de 18 ans :

  • Soit après une hospitalisation, ou sur la demande de leur médecin traitant,
  • A la suite d'une intervention chirurgicale,
  • Après un polytraumatisme,
  • A la suite de maladies (cardiovasculaire, diabète, maladie dégénérative, …),
  • En intercure de chimiothérapie et/ou de radiothérapie,
  • En consolidation de sevrage alcool.

L’établissement travaille en étroite collaboration avec les services de chirurgie et de médecine des établissements de court séjour de la région de Gap. Des conventions de partenariat sont mises en oeuvre et permettent de faciliter l'accès aux principaux services et plateaux techniques en cas de besoin. Elles permettent également d'assurer un suivi du patient, dans la continuité de sa prise en charge, dans la mesure où celui-ci ne peut pas regagner son domicile.

GROUPE SOS Santé souhaite la bienvenue à l’ensemble des salariés et des patients.

> En savoir plus sur cet établissement

santéGROUPE SOS Santé en bref

GROUPE SOS Santé propose une offre de soins performante et non lucrative, centrée sur les besoins de la personne et accessible quel que soit le niveau de revenu. Nous contribuons au maintien de services de soins utiles à la population sur des territoires parfois menacés par le phénomène de « désertification médicale ». Grâce à la diversité de ses actions et à son savoir-faire, le GROUPE SOS répond toujours plus efficacement aux enjeux de notre société. Avec la reprise du SSR La Source, GROUPE SOS Santé gère désormais 9 hôpitaux.

> En savoir plus sur GROUPE SOS Santé

 

Handic'ult, l'afterwork solidaire

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Le 6 décembre à FAR (Paris 11e), Respect mag organise un afterwork à partir de 18h sur le thème "Culture Emploi et Handicap". Organisé en partenariat avec notamment FAR, Créatis (GROUPE SOS Culture) et GROUPE SOS Solidarités, cet événement intitulé Handic'ult s'inscrit directement dans la continuité de la Semaine Européenne pour l'Emploi des Personnes en situation de Handicap. Il proposera une programmation culturelle riche, invitant les participants à déconstruire les clichés sur le handicap et à penser  la diversité dans le monde du travail.

Handi'cultCulture emploi et handicap : favoriser les passerelles

La culture est un excellent moyen de créer des liens, de sensibiliser, et d’inclure au sein de notre société des personnes marginalisées à cause d’un handicap. Mais a-t-on déjà considéré la culture comme un levier d’insertion professionnelle pour les personnes en situation de handicap ? Pour faire écho à la parution de son hors-série annuel, dédié cette année à la thématique « Culture, Emploi et Handicap », Respect mag organise une grande conférence pour proposer des solutions favorisant l’accès à la formation aux métiers du secteur culturel. Elle sera animée par Mounir Belhidaoui, journaliste chez Respect mag, qui a invité pour débattre sur ce sujet Emilie Bougouin, Directrice du Centre Recherche Théâtre Handicap (CRTH), Florian Soirot de l'association Créative Handicap, et Denis Charrier, Directeur du Développement du Réseau Gesat.

> S'inscrire à la conférence

Une programmation culturelle riche

En marge de cette conférence, l'équipe de Respect mag et ses partenaires vous proposent de nombreuses animations culturelles, en accès libre :

  • Une projection du court métrage intitulé Osmose, présenté par les résidents du Foyer d'accueil médicalisé Maraîchers (GROUPE SOS Solidarités) en partenariat avec le CRTH.
  • Une expérience de réalité virtuelle. Grâce à son logiciel « Réalité » et ses casques VR, l’Agence Bbird vous plongera dans une expérience inédite pour vous sensibiliser aux différents handicaps.
  • Une exposition de peintures. 6 peintures des résidents du Foyer de vie Camille Claudel (GROUPE SOS Solidarités) seront présentées durant cet afterwork.
  • Une exposition photos réalisée par les journalistes du projet 6 Mois, sur la thématique du handicap qui illustre le portrait de Jaime, Alvaro et Alejandro, trois frères vivant dans le sud de l’Espagne.
  • La présentation d'une bande dessinée, proposée par le magazine Vingt-et-un. Elle suit les aventures de Thérèse, Andrée, Pascal, Michel, Mirelle et Josie, en colonie de vacances. Handicapés mentaux, ils sont accompagnés par une jeune étudiante.
  • Une bibliothèque sonore créée par Ce Que Mes Yeux Ont Vu.

> En savoir plus sur l'événement

Respect mag en bref

logo respect magRespect mag, c'est le magazine qui porte la voix de ceux qu’on n’entend que trop peu dans les médias traditionnels.

La parole urbaine, sociale et mixte de Respect mag contribue à combattre les inégalités, en mettant notamment en lumière des initiatives réconciliatrices, en France comme ailleurs. De la lutte contre le racisme en passant par la laïcité, l’égalité femme/homme ou l’intégration des personnes en situation de handicap, tous les thèmes au cœur des débats de notre société sont décryptés au quotidien par l’équipe de Respect afin de permettre leur appropriation par tous.

> Découvrir Repect mag
 

Protéger les forets de Madagascar

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Depuis 2010, Planète Urgence intervient à Madagascar à travers le programme « Environnement & Développement » pour la réalisation de projets conjuguant le reboisement, la protection des ressources naturelles ainsi que le développement communautaire durable et local. Focus sur le bilan du programme en 2017. 

planete urgenceProjet TAPIA : protéger la forêt de Tapia et la filière soie

Le tapia est une espèce d’arbre endémique situé dans les hauts plateaux de Madagascar dans lequel évoluent les vers à soie. Indispensable au fonctionnement de la filière soie, il est malheureusement surexploité par les communautés dans la mesure où le bois, notamment sous forme de charbon, reste la principale source d’énergie dans la région. Dans ce contexte de surexploitation, les populations locales dépendantes de la filière ne parviennent pas à subvenir à la totalité de leurs besoins. De plus, la filière soie sauvage subit des pressions : manque de matières premières (le vers à soie), bio agresseurs, etc. C’est pourquoi Planète Urgence intervient directement auprès des acteurs et communautés impliqués dans ce secteur en restaurant l’écosystème du tapia et en appuyant le développement de la filière.

En 2017, Planète Urgence a ainsi planté près de 70 000 arbres et appuyé 630 familles issues de la filière.

Projet ALAMAMY : redynamiser la filière apicole après l’épidémie

Le projet Alamamy contribue à la redynamisation nécessaire de la filière apicole après le passage de l’épidémie de varroase (acarien parasite des abeilles). Au bénéfice d’une quarantaine de familles à travers 3 associations, les activités du projet s’articulent autour du reboisement (pour la production de miel et comme source d’énergie) et du développement d’activités génératrices de revenus complémentaires afin de garantir la pérennité financière du projet.

En 2017, une pépinière a été installée pour la production de près de 40 000 plants d’acacia et d’eucalyptus ainsi que 62 ruches, permettant de porter la production annuelle de miel à plus de 150 litres de miel.

Projet AFIBERIA : réduire la pression sur les forêts

planete urgenceDans les régions Itasy et Analamanga, les modes de production et de consommation du bois comme source d’énergie se traduisent par une surexploitation croissante des ressources naturelles, affectant ainsi le climat, la diversité biologique, les équilibres naturels et les activités économiques qui en dépendent. Planète Urgence, avec le soutien de l’Union européenne, appuie donc ses partenaires locaux pour accroître les compétences techniques des professionnels de la filière bois-énergie (Techniques Améliorées de Carbonisation et appui à la commercialisation), proposer à la vente des foyers améliorés, augmenter le couvert forestier et sensibiliser les acteurs et populations locales aux conséquences néfastes d’une surexploitation de la forêt.

Au cours de l’année 2017, le projet Afiberia a ainsi appuyé directement 2 201 reboiseurs, 29 pépiniéristes, 564 charbonniers et 60 artisans producteurs de foyers améliorés répartis sur 10 ateliers de production. 1 114 824 jeunes plants d’eucalyptus et d’acacias ont été produits, soit une superficie totale potentielle de 903 hectares d’arbres reboisés.

> En savoir plus sur le Programme « Environnement & Développement » de Planète Urgence à Madagascar

planete urgencePlanète Urgence en quelques mots

Créée en 2000, Planète Urgence est une association de GROUPE SOS Action internationale, qui agit en faveur du renforcement de capacités et de l'autonomie des populations locales par l’envoi de volontaires en missions de Solidarité Internationale et par le programme "Environnement & Développement" qui associe protection de l’environnement avec le développement économique. Elle mène également des actions de protection de l’environnement et de valorisation de la biodiversité.

> En savoir plus sur Planète Urgence

 

Planète Urgence fait peau neuve

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Nouvelle identité, nouveau logo, nouveau site Internet... A l’occasion de l’intégration des dispositifs de volontariats de GINKGO à Planète Urgence, l’ONG fait peau neuve.

planete urgenceLe rapprochement de Planète Urgence et des dispositifs de volontariat GINKGO

GINKGO et Planète Urgence, associations de GROUPE SOS Action Internationale, ont associé leurs dispositifs de volontariat de court terme et de long terme. Dorénavant réunis sous la bannière de Planète Urgence, elles font de l’association l’un des principaux acteurs du volontariat international en France. Ce rapprochement amène Planète Urgence à compter désormais plus d’une soixantaine de collaborateurs, qui agissent dans 29 pays. Il est accompagné par l'arrivée d’un nouveau Président pour l’association, Patrice Papet.

L'un des premiers acteurs du volontariat en France 

indonesieAujourd'hui, les offres de volontariat de Planète Urgence incluent les offres de GINKGO : le Volontariat GINKGO, le Service Civique et le Volontariat humanitaire de solidarité internationale (VSI) et celles de Planète Urgence, le Congé Solidaire®.

Ainsi, Planète Urgence devient l’un des premiers acteurs du volontariat en France en proposant des missions à court et long terme. Les projets de reforestation menés par l'association vont, quant à eux, prendre de l’ampleur à Madagascar et en Indonésie.

En savoir plus sur Planète Urgence

Une nouvelle identité 

En novembre 2018, Planète Urgence choisi de redynamiser son image et de faire évoluer son identité visuelle et son logo.

logo

Le site Internet de Planète Urgence a également évolué. Une interface entièrement refaite et plus attractive, une meilleure présentation de l’expertise des partenaires locaux et mécènes, un parcours ergonomique pour les utilisateurs… Sur un même site sont aujourd'hui présentés les différents dispositifs de GINKGO et de Planète Urgence. 

A découvrir ici

 

 

Épiceries solidaires : près de 100 emplois sauvés par le GROUPE SOS

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L’association ANDES (Association Nationale de Développement des Epiceries Solidaires) était en redressement judiciaire. Jeudi 24 janvier, le Tribunal de Commerce de Bobigny a validé l’offre de reprise du GROUPE SOS, seul repreneur à s’être manifesté. La pérennité de son réseau de 365 épiceries solidaires sera désormais garantie. En rejoignant le GROUPE SOS, l’association ANDES évite la liquidation judiciaire, et près de 100 emplois sont sauvés.

ANDES, acteur central de la lutte contre le gaspillage alimentaire

logo andesDepuis 2000, le réseau qui compte aujourd’hui 365 épiceries solidaires partout en France œuvre pour que l'accès à l'alimentation soit un droit pour tous et une passerelle vers l'insertion durable des personnes en situation de précarité. Association majeure de l’aide alimentaire en France, elle permet l’accès en libre-service à des produits de consommation courante contre une faible participation financière (en moyenne 20% du prix "marchand").

Acteur central de la lutte contre le gaspillage alimentaire, ANDES est aujourd’hui implanté dans 4 Marchés d’Intérêt Nationaux (MIN) à Rungis, Perpignan, Marseille et Lille. L’association travaille activement à la lutte contre le gaspillage alimentaire par la récupération, le tri et la distribution de denrées alimentaires au sein du réseau des épiceries solidaires, mais également auprès des Restos du Cœur, Secours Catholique, Secours populaire, et autres acteurs associatifs locaux.

Une activité pérennisée

andes epiceries

Sans patrimoine immobilier ni fonds propres, cette association bénéficiera de la solidité du GROUPE SOS pour poursuivre son activité et se développer, pour consolider son modèle économique et dépasser ses difficultés récentes (0.6 million d’euros de pertes en 2018).

Plus de 93% des postes actuels, dont 100% des contrats en insertion, sont sauvegardés, soit près 100 emplois. Les 7% restant pourront compter sur un accompagnement de professionnels du retour à l’emploi du GROUPE SOS. Une cellule de reclassement sera financée afin d’offrir les meilleures conditions aux salariés non repris de retrouver un emploi dans les brefs délais. Une priorité de réembauchage de 12 mois et une possibilité de reclassement sur les postes ouverts sur l’ensemble du GROUPE SOS sera proposée.

« Pérenniser les actions des épiceries solidaires s’inscrit dans l’ADN du GROUPE SOS, dans sa tradition de lutte contre toutes les formes d’exclusion. Selon les Etats généraux de l’alimentation, 8 millions de personnes en France n’ont pas accès à une alimentation suffisante et de bonne qualité pour des raisons financières. L’offre des épiceries solidaires répond à cette urgence sociale et environnementale, en proposant l’équivalent de 22 millions de repas chaque année pour plus de 150 000 bénéficiaires. » Jean-Marc Borello, Président du Directoire du GROUPE SOS.

> En savoir plus sur ANDES

 

 

L'Usine : un nouveau départ

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Un an après l’incendie accidentel qui avait endommagé une partie du bâtiment, L’Usine a fait peau neuve et a ouvert pour la nouvelle année. Ancienne usine reconvertie en lieu événementiel, L’Usine a revisité son offre et propose à ses clients de venir vivre un instant unique : "L'Instant U".

À L’Usine, la convivialité prend ses quartiers

l usine

La décoration a été repensée pour faire la part belle au végétal : carrés potagers, terrasses végétalisées... De nombreuses plantes viennent orner des salles repeintes dans un esprit « jungle ». L’accent a été mis en tout point sur la convivialité : une gastronomie audacieuse signée Té, des buffets esprit tables d’hôtes et des animations street food inédites, deux terrains de pétanque ou encore un babyfoot permettent de proposer des séminaires dans une ambiance sérieuse, mais décontractée.

Savoir-faire et insertion professionnelle

l usine en 5 atouts

Enfin, l’éthique et l’économie positive au coeur du projet font de L’Usine un lieu toujours et résolument engagé. Une grande partie du personnel est en parcours d’Insertion par l’Activité Economique. Ils viennent apprendre ou réapprendre les métiers du service et de la restauration, mettant ainsi leur savoir-faire acquis au service de leur réinsertion durable vers l’emploi.

 

autrefoisIl était une fois… 

Construite en 1862 par l’architecte Jules Saulnier, L’Usine appartenait à la famille Menier, fabricant de produits pharmaceutiques et fondatrice de la célèbre chocolaterie, jusqu’en 1869. Elle a ensuite abrité les ateliers de la Pharmacie Centrale de France jusqu’en 1982, date à laquelle le site fût repris par le Comptoir français des produits aromatiques (CFPA).

> En savoir plus sur L'Usine

> En savoir plus sur GROUPE SOS Emploi

 

Plaidoyer : donner les mêmes chances à chaque enfant, adolescent et jeune majeur

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Le vendredi 28 juin à Paris, Flavie Mekharchi, Porte-parole du Plaidoyer Protection de l’enfance du GROUPE SOS, a remis celui-ci à Adrien Taquet, Secrétaire d’Etat en charge de la Protection de l’Enfance. Ce plaidoyer affirme 4 propositions pour donner les mêmes chances à chaque enfant, adolescent et jeune majeur.

Pourquoi ce plaidoyer ?

remise plaidoyerAlors que nous célébrons les 30 ans de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE), force est de constater que l’effectivité des droits qui y sont proclamés est insuffisante. Pour les enfants les plus vulnérables – enfants placés, porteurs de handicaps, mineurs non accompagnés notamment- la mise en œuvre concrète des droits reste particulièrement complexe. Les lois de 2007 et 2016 ont eu pour objet de réformer la Protection de l’enfance. Elles sont structurantes et exigeantes pour l’ensemble des acteurs. L’élaboration de la Loi de mars 2016 s’est déroulée dans un contexte de forte concertation en réunissant régulièrement les élus des départements, leurs services, les associations, les représentants des usagers. Les constats sont connus et partagés largement. A ce jour, la priorité nous semble donc être moins de légiférer à nouveau que de s’assurer de l’effectivité des dispositions légales actuelles.

Au regard de la complexité croissante du profil de certains jeunes, qui cumulent plusieurs types de difficultés, le décloisonnement institutionnel et notamment entre les champs de la santé, de la scolarité et de la Protection de l’enfance est indispensable. Enfin, des moyens financiers à hauteur des enjeux doivent être mobilisés : il ne s’agit pas de dépenses, mais bien d’un investissement dans l’avenir de notre pays. Cet investissement doit également concerner les professionnels qui s’impliquent au quotidien auprès des enfants et des familles. Le manque d’attractivité de notre secteur est manifeste. Cela affecte directement la qualité de l’accompagnement que nous pouvons proposer. Il est donc essentiel de reconsidérer les questions de reconnaissance professionnelle, de formation et de revalorisation salariale.

Les chantiers sont nombreux, mais nous sommes mobilisés au sein du GROUPE SOS pour offrir les mêmes chances à chaque enfant, adolescent et jeune adulte que nous accompagnons.

Nos propositions

protection de l enfance1. Proposer une offre de Services d’accueil de jour dans chaque département comme dispositif de prévention dès le plus jeune âge, et les ouvrir à toutes les familles, même hors dispositifs de Protection de l’enfance. Les Services d’accueil de jour, en offrant un accompagnement renforcé par rapport à l’Action éducative en milieu ouvert, permettent à la fois un suivi protégeant l’enfant et le maintien en milieu familial. En étant ouvert aux plus jeunes enfants et aux familles en amont d’une prise en charge au titre de la Protection de l’enfance, ce dispositif devient un outil efficace de prévention précoce.

2. Proposer des Services de médiation familiale dans chaque département, pour garantir la mise en œuvre d’actions de soutien à la parentalité et de maintien du lien notamment dans le cadre d’une mesure d’éloignement du domicile parental. Quand le maintien dans la famille n’est pas possible, le placement de l’enfant peut être mis en œuvre. Dans la majorité des cas, le projet vise à terme le retour de l’enfant dans sa famille. Or, 2 enfants sur 3 revenus dans leur famille se retrouvent à nouveau en Protection de l’enfance quelques temps plus tard. Il est donc particulièrement important d’agir sur les causes ayant conduit à l’éloignement de l’enfant via des mesures de soutien à la parentalité, afin de garantir un retour pérenne et stable dans la cellule familiale.

3. Créer dans chaque département des projets spécifiquement dédiés aux jeunes en situation de handicap et relevant de la Protection de l’enfance, co-construits par les départements et les Agences régionales de santé. Les jeunes porteurs d’un handicap et relevant de la Protection de l’enfance sont à la croisée des dispositifs institutionnels, et peinent à bénéficier d’un accompagnement adapté à leurs besoins en termes de soin comme de protection. Pour parvenir à construire des projets dédiés aux jeunes aux profils complexes, nous devons mettre en place au sein de chaque département un protocole interinstitutionnel, prévoir dans chaque Projet régional de santé un volet enfant qui dispose de moyens dédiés pour les jeunes pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance et aller vers la parution d’appels à projet conjoints.

4. Créer un Service de suite dans chaque département, accessible aux jeunes de 17 à 25 ans sortant de l’Aide sociale à l’enfance. Les jeunes majeurs sortant des dispositifs de l’ASE se voient offrir, sinon rien, des accompagnements courts et peu adaptés, fondés sur une injonction à l’autonomie trop rapide et ne tenant pas compte des besoins éducatifs passés 18 ans. Cela conduit bien souvent à l’échec de l’insertion dans le logement, l’emploi, la vie sociale, le soin, ainsi que l’oubli de l’équilibre psychique, du bien-être et de l’estime de soi. Le Service de suite proposé dans chaque département serait fondé sur un accompagnement global tenant compte de toutes ces dimensions et serait flexible et adapté à chacun.

> Découvrez le Plaidoyer Protection de l’enfance

Flavie Mekharchi, Porte-parole du Plaidoyer Protection de l’Enfance

Flavie Mekharchi arrive au sein du GROUPE SOS en 2006 en tant que juriste de droit social pour le secteur Jeunesse. Après avoir assuré la direction d’une association du Groupe agissant dans le champ de la Protection de l’enfance, elle devient Directrice Générale adjointe du secteur Jeunesse en 2016 puis assure à partir de 2018, une mission de Secrétariat Général du secteur. En janvier 2019, Flavie Mekharchi devient Membre du Directoire en charge des activités Jeunesse.

Flavie Mekharchi

groupe sos jeunesseGROUPE SOS Jeunesse

Accueil en crèche, éducation par le sport, parrainage de proximité, hébergement, accompagnement et orientation d’enfants et d’adolescents en difficulté ou en danger... GROUPE SOS Jeunesse intervient auprès de plus de 90 000 enfants et jeunes majeurs chaque année. Adaptant nos actions en fonction de chacun, nous veillons, dans la mesure du possible, à préserver les liens familiaux. Des tout-petits aux jeunes majeurs, nous agissons pour une réelle égalité des chances.

> En savoir plus

 

 


Bien-être, pédagogie, rétablissement : les pouvoirs de la nature

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La préservation du capital naturel est une constante dans les activités du GROUPE SOS, comme en témoignent les objectifs Développement Durable pour 2020 et les actions de GROUPE SOS Transition écologique. La nature participe également à la qualité de notre accompagnement. Bien-être, convalescence, pédagogie… Découvrez quelques illustrations des bienfaits de la nature.

 

la nature au groupe sos

Des animaux et des hommes

Les moutons, éco-tondeuses bienveillantes

moutonsSituée dans le Val-de-Marne, la Maison d’accueil spécialisée (MAS) d’Ormesson accueille des personnes souffrant de handicap psychique, moteur ou somatique. Cet hiver, elle s’est lancée dans une démarche innovante : l’adoption de moutons. Ces animaux paissent et entretiennent ainsi la pelouse toute l'année. Ils remplacent la tonte mécanique et apportent une présence agréable aux résidents et à l’équipe de l’établissement. Pour les résidents, la présence d’animaux est un important facteur de réduction du stress et leur permet de communiquer plus facilement leurs émotions. Les premières brebis sont arrivées le 3 janvier, le reste du troupeau le 21 mars et un bélier géniteur le 8 avril. « Il est doux et affectueux » soulignent les résidents. Un agneau et trois brebis sont par ailleurs nés à la MAS. Toute l’équipe professionnelle et l’ensemble des résidents sont heureux de prendre soin d’eux au quotidien : caresses et biberons trois fois par jour !

Deux vaches à l’EHPAD les Pins

L’EHPAD Les Pins (Moselle) a accueilli de juin à novembre 2018 deux résidentes pas comme les autres. Natacha et Nana, deux vaches écossaises, ont pu paître dans le jardin de l’établissement. « Leur présence est une incitation à sortir pour nos résidents, dont une grande partie est issue du monde rural et a exercé le métier d’agriculteur. Par ailleurs, la présence d’animaux a un impact bénéfique sur le moral des résidents » a souligné Valérie, la gouvernante de l’établissement.

Favoriser la résilience du corps

centre medical la sourceUn cadre idyllique pour se soigner dans le calme et la sérénité

L'équipe du Centre médical La Source assure des soins médicaux, de rééducation et de réadaptation, de prévention et d'éducation thérapeutique. Situé à 20 km de Gap et à proximité du parc national des Écrins, l’établissement offre aux patients un cadre idyllique à 1 200 m d’altitude qui ravit tous les amoureux de la montagne et de la nature. L'environnement protégé, l'altitude, l'absence de pollution et le soleil des Alpes du Sud s’inscrivent parfaitement dans la qualité de la prise en charge de patients ayant parfois vécu des traumatismes corporels importants.

La nature, une rupture bénéfique pour les jeunes en difficulté

Une rupture pédagogique

cer lozereLe Centre éducatif renforcé (CER) Lozère accueille 8 garçons, de 13 à 18 ans, placés par décision judiciaire. Les jeunes et les équipes ont pris leurs quartiers dans les nouveaux locaux de l’établissement, inaugurés en décembre. La première étape, lorsqu’un jeune rejoint le CER, est un séjour de rupture d’une semaine dans les montagnes environnantes. Au programme : randonnées, VTT, canyoning l’été, ski l’hiver… L’objectif : faire de la rupture en milieu naturel une expérience bénéfique pour le jeune, lui permettant de mieux se connaître et de se dépasser. Ce séjour ouvre la voie à la deuxième phase de l’accompagnement : suivre le jeune au quotidien et rétablir la confiance en soi.

Apprendre la vie en collectivité

Les adolescents accompagnés par le CER de Guyane effectuent régulièrement des expéditions dans la forêt amazonienne, en présence de l’équipe éducative de l’établissement. Réalisation d’un campement, remontée d’un fleuve, randonnées… Ces excursions permettent aux jeunes de découvrir leurs capacités, de développer leurs goûts, d’expérimenter un mode de vie plus autonome, d’établir d’autres liens relationnels et d’apprendre le partage, la solidarité, la vie en communauté avec ses règles à respecter. Ce séjour de rupture est aussi l’occasion de proposer un bilan éducatif, scolaire et psychologique dans l’objectif d’élaborer un projet d’insertion socioprofessionnelle viable.

La nature, source d’éveil et de connaissances pour les enfants

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Sensibiliser les prochaines générations à la richesse de la nature

L’Association départementale d’éducation populaire et de plein air (ADEPPA) sensibilise les enfants au développement durable, grâce à une ferme, une mare et un jardin pédagogique construits sur ses 13 hectares de terrain. Elle organise des projets conciliant environnement et pédagogie : en 2017, par exemple, les élèves d’une classe de CE2 ont planté 165 arbres dans le domaine de l’ADEPPA.

 

 

Accueillir les personnes isolées touchées par le COVID19 : nos salarié.e.s témoignent

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Le 1er avril, l’association YSOS a ouvert un nouveau centre temporaire pour accueillir les personnes isolées touchées par le virus. Des volontaires n’ont pas hésité à se rendre disponible pour apporter leur soutien aux plus démuni.e.s.

Découvrez le centre et les témoignages de celles et ceux qui se sont mobilisé.e.s !

Un centre temporaire pour accueillir les malades sans domicile

Ouvert depuis le 1er avril, ce centre temporaire est situé dans deux dépendances du Château de Menilles (Eure). Il a pour objectif d’accueillir et de protéger des familles en rupture sociale ainsi que des personnes sans domicile malades ou présentant des symptômes du virus, et d’éviter la propagation dans les foyers d’hébergements. Il peut accueillir sur décision d’un médecin jusqu’à 15 personnes isolées et 4 familles, qui seront prises en charge jour et nuit par les 12 salarié.e.s de l’association, épaulés par des bénévoles de la Croix Rouge.

L’équipe du centre témoigne

Les professionnel.le.s du centre nous expliquent les motivations qui les ont poussés à se mobiliser durant cette période. Une expérience riche humainement et professionnellement :

captureea84.png « Je me suis portée volontaire par engagement professionnel. Il est important pour moi d’être présente et disponible sur le terrain afin d’apporter mon soutien à la population, que les difficultés soient sanitaires, sociales ou autres. Toute expérience est riche de sens et enrichissante. » Mathilde

« Il est important que chacun, à son niveau, apporte sa pierre à l’édifice pour sortir de cette crise sans précédent. L’engagement et la solidarité font partie des caractéristiques qui animent les travailleurs sociaux et je pense que c’est dans des moments comme celui-ci qu’il faut avoir le courage de ses convictions. » Marie

« J’ai accepté d’être volontaire car cela me permet de développer des compétences professionnelles et de me familiariser avec un secteur qui m’a toujours motivé. J’ai découvert un dispositif relativement inhabituel et la mise en place de ce dispositif, me permet d’exercer le côté relationnel qui m’anime. D’autre part, d’un point de vue personnel, il s’agit de découvrir, de s’adapter, et de se remettre en question. » Jean-Baptiste

« Pour me sentir utile dans cette période de crise, mais aussi pouvoir apprendre des compétences sanitaires et mettre ma pierre à l’édifice pour valoriser le travail social avec un public qui n’aurait de prime abord pu jouir d’un tel accompagnement pluridisciplinaire. »  Louise

ysos_1.jpg« N’étant ni maman ni public à risque, il me semblait évident d’aider ceux en difficulté tout en préservant des collègues moins présents en ces temps difficiles. Il me semble aussi évident que monter en compétence dans le domaine du social avec une approche en lien avec la santé fait sens dans mon parcours professionnel et m’apprend beaucoup d’un point de vue plus personnel. » Géraldine

 « Dans une carrière lointaine dans le sanitaire où j’étais sur le terrain à l’époque de la grippe H1N1 se fut une évidence lorsque le poste de cadre au sein du centre de confinement m’a été proposé. Mettre du sens auprès des équipes dans la mise en œuvre d’un accueil social et un accompagnement humain a été un challenge qui n’a pas pris beaucoup de temps car les équipes sont très motivées et professionnelles ce qui facilite l’approche médico-sociale. L’ouverture dans l’urgence d’une structure éphémère avec une équipe qui sera sur la même durée est très enrichissant professionnellement et permet d’appréhender mes pratiques professionnelles sous un autre angle avec une proximité et un soutien au quotidien des équipes sur place. Cette situation inhabituelle crée de grandes solidarités. » Mélanie

DANS LA PRESSE

Dans un article paru le 7 avril, le journal Paris Normandie nous détaille les spécificités de ce centre. Découvrez l’article : https://bit.ly/2yKPZ4M

 

En savoir plus sur l'association YSOS

 

 

 

Tou.te.s mobilisé.e.s ! Le GROUPE SOS recrute

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Nos établissements font face à une situation sans précédent. Il faut souligner leur exemplarité et leur professionnalisme face aux conséquences de l’épidémie. Ils ont aujourd’hui besoin du soutien tous ceux qui le peuvent. Nous invitons tous ceux qui souhaitent se mobiliser à remplir un court formulaire, quel que soit votre profil. Nos équipes vous recontacteront dès que possible en fonction de l’évolution des besoins sur le terrain.

> Accéder au formulaire

 

le groupe sos recrute
 
 
 

« La solidarité et le dévouement ne sont pas de vains mots. »

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L’épidémie touche de manière inégale les territoires, et les établissements. Corinne Strousser-Dameme est directrice des Appartements de coordination thérapeutique de Bordeaux, au sein de GROUPE SOS Solidarités. Elle a décidé de traverser le pays pour apporter son aide à la Maison d’accueil médicalisée d’Ormesson (Val-de-Marne), durement touchée par l’épidémie. Elle nous raconte son formidable geste de solidarité.

corinne strousser« Je suis directrice d’un Appartement de coordination thérapeutique (ACT) de GROUPE SOS Solidarités à Bordeaux et infirmière cadre de santé de formation. L’établissement que je dirige est, jusqu’à ce jour, épargné par le Covid-19. Mais ce n’est malheureusement pas le cas de tous les établissements du GROUPE SOS.

Quand la situation de la MAS d’Ormesson, qui accueille des personnes adultes en situation de handicap en Ile-de-France, s’est dégradée, il a fallu réagir vite. L’épidémie a touché de manière concomitante et rapide des résidents et toute l’équipe d’encadrement. C’est dans ce contexte, que la direction m’a proposé de rejoindre temporairement cet établissement pour apporter un renfort humain et une expertise sanitaire. J’ai une expérience de quelques années en services de maladies infectieuses et tropicales en milieu hospitalier.

Je suis par ailleurs membre du Comité des soins qui a pour vocation à produire et à améliorer les protocoles de soins dans les établissements du secteur handicap. J’ai donc une certaine culture des risques infectieux et des problématiques de soins et d’hygiène.

J’ai rapidement accepté cette proposition même si je dois avouer que j’avais une certaine appréhension. Je ne m’étais, jusque-là, pas confrontée réellement au virus et j’avais des craintes, pour la plupart irrationnelles.

Quand je suis arrivée sur site, j’ai pu constater que les équipements et mesures de protection mises en place permettaient d’assurer la sécurité de l’ensemble des professionnels.  A donc commencé pour moi une période d’observation pour identifier toutes les opportunités d’amélioration des process afin d’enrayer la propagation du virus au sein de l’établissement. J‘ai donc scruté les différents circuits mis en place, les gestes et déplacements des professionnels, pour essayer de voir ce qui devait être amélioré. Ne connaissant pas cet établissement ni les professionnels y exerçant, j’avais la possibilité de poser un regard neuf et neutre sur la situation. C’était un réel avantage.

Mon accompagnement a duré une semaine durant laquelle j’ai mis l’accent sur la formation et l’information des professionnels, pour qu’ils comprennent et intègrent pleinement les gestes barrières et les nombreux nouveaux protocoles produits. J’ai également participé à faire évoluer certains circuits pour lutter contre le risque de propagation de l’infection, démarche essentielle dans une collectivité pour protéger résidents et professionnels. Le cadre de santé de la MAS étant de retour à la fin de ma mission, nous avons pu échanger et travailler ensemble pour qu’il puisse s’approprier sereinement les différentes actions que j’avais initiées.

J’ai donc rejoint mon établissement de Bordeaux en ayant le sentiment d’avoir apporté un soutien et un savoir-faire à une équipe qui était sur le front depuis de nombreuses semaines et qui n’avait pas été épargnée. Mais aussi, avec la conviction que nous faisons tous partie d’un même collectif pour lequel la solidarité et le dévouement ne sont pas de vains mots.

J’ai été émue de recevoir autant de remerciements suite à mon intervention. A mon tour, et même si je l’ai déjà fait, je veux remercier ceux qui ont pris mon relais sur l’ACT de Bordeaux et qui m’ont permis d’être pleinement concentrée sur ma tâche durant cette semaine intense ! ».

> En savoir plus sur les ACT Bordeaux

> En savoir plus sur la MAS d'Ormesson

 

« Il est essentiel de témoigner notre reconnaissance aux professionnels du handicap »

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Gaëtan est un jeune homme habituellement hébergé au Foyer d’accueil médicalisé (FAM) de Marly (Nord), mais le confinement l’a éloigné de ses amis et des professionnels de l’établissement. Son papa, M. Delcroix, nous raconte comment la famille s’organise avec les équipes du FAM pour que Gaëtan vive plus sereinement cette période délicate.

« Notre fils est résident du Foyer d’accueil médicalisé (FAM) de Marly depuis plusieurs années maintenant. Il y a ses amis, ses repères, ses habitudes. Nous avons toutefois fait le choix de le garder auprès de nous durant cette période de confinement. La perspective de ne pouvoir le voir durant de longues semaines et notre capacité à l’accueillir dans de bonnes conditions qui garantissent sa santé et sa sécurité nous ont guidés vers ce choix.

soutien famille handicapNous craignions cependant d’observer chez lui des régressions. Les professionnels du FAM ont su nous rassurer en nous proposant, notamment, un entretien par visioconférence avec le psychologue et l’ergothérapeute pour évoquer ce que l’on pouvait mettre en place pour l’accompagner dans ses apprentissages durant cette période inédite. L’équipe nous a également proposé de solliciter l’aide ou l’appui d’un professionnel de l’établissement qui pourrait venir chez nous, quelques heures, pour nous aider et nous soulager. Mais nous avons la chance d’être confinés en famille et de pouvoir nous relayer auprès de Gaëtan. Nous préférons que les salariés, déjà très sollicités en cette période, se mobilisent auprès des personnes confinées dans l’établissement qui n’ont pas la chance, en ce moment, de pouvoir être entourées de leur famille ou auprès des familles pour qui la situation au domicile se complique.

Bien sûr, concernant l’aspect de la socialisation, c’est plus compliqué, mais on s’y emploie ! Nous envoyons régulièrement des photos des activités qu’il fait à ses amis et à l’équipe de l’établissement et nous organisons des échanges vidéo avec un camarade qui est, lui aussi, au domicile de ses parents.

On attend de recevoir prochainement des nouvelles des copains grâce au journal « spécial confinement » sur lequel ils travaillent !

En tant que représentant des familles et des tuteurs au sein du Conseil de vie sociale, je suis en lien avec de nombreuses familles. Si la plupart d’entre elles sont déstabilisées par le fait de ne pouvoir rendre visite à leurs enfants, toutes sont pleinement conscientes de la forte mobilisation et du dévouement total des équipes pour accompagner au mieux leur proche durant ces moments. C’est un vrai réconfort. Nous avons eu l’occasion de le leur dire lors d’une réunion organisée par la direction il y a quelques jours. Plus que jamais, il est essentiel d’être à leurs côtés et de leur témoigner notre confiance et notre reconnaissance.

S’ils sont moins reconnus par le grand public que les personnels soignants des hôpitaux, leur contribution est toute aussi importante… Même plus importante, aux yeux du papa que je suis ! »

Les familles, un soutien précieux

handicap familles soutienAux FAM et Foyer d’accueil spécialisé (FAS) de Marly ; comme dans l’ensemble des établissements et services Handicap de GROUPE SOS Solidarités, les professionnels se sont attachés à maintenir les liens familiaux et sociaux notamment via la mise en place d’échanges en visioconférence. A cette fin de nombreuses tablettes électroniques ont été offertes à l’établissement grâce à la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France notamment. Egalement, les proches sont des partenaires de cette gestion de crise et une initiative de M. Delcroix a permis que soient confectionnés par des familles et bénévoles des masques en tissus permettant d’habituer des résidents au port de ce type d’équipement. Enfin, les familles, par courriers ou via l’organisation d’une visioconférence avec les cadres de l’établissement et le Directeur des Opérations du Pôle Handicap sont informées en continue de la situation des établissements et de cette gestion de crise.

> En savoir plus sur le FAM de Marly

> En savoir plus sur le pôle Handicap de GROUPE SOS Solidarités

 

 

« Le dialogue social a sa raison d'être quand la direction a de l'intérêt pour ça »

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Au quotidien, nos équipes se mobilisent pour maintenir la qualité de vie dans nos établissements. Céline Caumel, aide médico-psychologique au FAM Maraîchers à Paris, nous dévoile son quotidien pendant la période de confinement.

 

Pouvez-vous vous présenter ?

celine caumel« Je m’appelle Céline Caumel, cela fait bientôt 3 ans que je travaille au Foyer d’accueil médicalisé (FAM) Maraichers (Paris 20ème). Je suis aide médico-psychologique (AMP),  et j’exerce ce métier que j’aime beaucoup depuis 22 ans. J’ai travaillé, accompagné des usagers avec divers  handicap : mental, physique, Alzheimer, autisme, enfants, sourds et muets. C’est la première fois que je travaille pour une structure qui accueille uniquement des personnes en situation de handicap psychique. Cet établissement est une vraie innovation, car ailleurs, quand ce public est mélangé avec un autre, il a malheureusement tendance à passer au second plan. Nous hébergeons 56 résidents, âgés de 45 ans  et plus,  qui présentent des handicaps psychiques divers : schizophrénie, psychoses, psychoses infantiles, troubles associés, troubles de l’humeur… Certains sont également sujets aux addictions (médicamenteuses, alcool, tabac…). »

Comment vous êtes-vous organisés avec l’arrivée du Covid 19 ?

« Nous avons la chance de disposer d’un bâtiment très récent (ouverture en 2015), grand, avec de l’espace. Il y a 4 étages et 14 résidents par étage. Nous avons dû quand même réorganiser une multitude de choses avec la crise sanitaire. Les repas sont désormais séparés en deux services pour limiter le nombre de résidents présents en même temps dans la salle. Nous avons modifié l’agencement des espaces, poussé les fauteuils pour que la distanciation physique puisse être facilement respectée. Au début du confinement, avec l’absence des salariés qui devaient garder leurs enfants et ceux qui risquaient des conséquences graves s’ils contractaient le virus, il a fallu faire venir beaucoup de remplaçants. L’engagement de tous a été impressionnant. Néanmoins la fatigue des salariés qui sont sur le terrain depuis le début des mesures mises en places se fait ressentir. Il faut faire respecter le confinement dans notre vie professionnelle, et on vit aussi le confinement dans notre vie personnelle. Ça fait beaucoup de contraintes… L’équipe de cadres et les Infirmier.e.s Diplomé.e.s d’Etat (IDE) ont été formidables. Nous avons bien été formés sur la façon de s’équiper, sur le respect des mesures barrières… Des réunions de coordination chaque matin, sur les unités de vie, nous ont permis de trouver des solutions, au fur et à mesure que se présentaient des tensions ou des majorations de troubles liés au confinement. »

Comment se déroule le dialogue social dans ces conditions ?

« Je suis secrétaire du Comité social et économique (CSE) du pôle handicap région Nord de GROUPE SOS Solidarités. Depuis le 18 mars nous nous réunissons en visioconférence chaque semaine, nous innovons ! C’est contraignant mais c’est surtout enrichissant et rassurant. Nous découvrons la situation des autres établissements et la façon dont ils répondent aux problèmes qu’ils rencontrent. Nous recevons beaucoup d’informations. Nous pouvons aborder les questions que nous avons préparées avec les élus en amont. Toutes les réponses ont été apportées au fur et à mesure par la direction malgré le contexte difficile lié à cette crise sanitaire. Le dialogue social a sa raison d’être quand la direction a de l’intérêt pour ça. Cela semble être le cas. »

Comment les résidents vivent ce confinement ?

residents« Nous avons dû encadrer les sorties des résidents. Les sorties sont importantes pour eux. Ils ont des liens avec le quartier (avec bon nombre de commerçants par exemple), ils ont leurs habitudes… C’était très difficile de leur faire comprendre qu’ils ne pouvaient plus sortir aussi facilement. Nous avons tous passé du temps à le leur expliquer. Mais il y avait de la tension. Quand ils sont sortis la première fois pendant le confinement et qu’ils ont vu d’eux-mêmes que tout était fermé, ils ont mieux compris. Ils peuvent sortir au moins une fois par semaine, accompagnés par un membre de l’équipe car tous ne sauraient pas gérer les contrôles de police. Certains boivent de l’alcool. Nous avons décidé en lien avec un spécialiste des addictions de leur donner la possibilité de consommer en petites quantités de façon contrôlée et cadrée par l’équipe. Du coup ils boivent moins qu’en temps normal, leur consommation est mieux maîtrisée. C’est un aspect positif de ce confinement. On a avancé avec les contraintes en essayant de mettre un peu de souplesse là où c’était possible. Le confinement se fait en chambre s’il y a des symptômes. Nous avons eu un cas de COVID pour un résident, sur l’unité de vie où je travaille. Je suis aussi tombée malade et j’ai été absente trois semaines. Nous allons bien tous les deux. »

Les visites sont limitées ?

« Oui bien sûr. Les intervenants extérieurs, ami(e)s ou familles ne viennent plus. Nous avons dû faire preuve d’imagination. Les activités sont individualisées au maximum, elles ont lieu aussi par petits groupes (entre 2 et 4 personnes) : jeux de société, quizz musicaux, cuisine thérapeutique (pâtisserie notamment), ateliers couture, ateliers mémoire, ping-pong, gym douce sur chaise, bien-être (bains de pied, soin de beauté, entretien cheveux…). Un don de tablettes a facilité l’organisation de moments d’échange avec les familles, elles permettent aussi des activités ludiques comme le karaoké par exemple… »

Pouvez-vous nous raconter votre journée type ?

gel.png« J’arrive au plus tôt à 7 h 30. Je pars au plus tard à 20 h 30. En ce moment la première chose que nous faisons à notre arrivée, c’est de prendre notre température. Je me change, je fais le point avec l’aide-soignante qui a fait la nuit, elle nous fait un topo. On aide les résidents à prendre leur petit-déjeuner. Nous prenons leur  température (le matin et le soir). Ensuite c’est la distribution des médicaments avec l’IDE. Puis on s’occupe de l’hygiène des locaux qui est évidement particulièrement importante dans ce contexte. On veille à l’approvisionnement de l’étage en eau, jus de fruits sucre, café… On aide les résidents pour les toilettes, les lessives, le rangement du linge…  Arrive l’heure du déjeuner, il y a donc deux services en ce moment. On prend le café avec eux après par petits groupes. Un temps de repos et un temps d’activités, sorties journalières dans l’après-midi le plus individuellement possible. En fin de journée on s’occupe du repas. Après le repas il y a un temps où ils peuvent discuter, entre eux, avec nous. Une fois par semaine, on fait aussi une réunion avec les résidents et les éducateurs pour rappeler les mesures barrières, donner les dernières informations des événements à venir et pour écouter les résidents et nous adapter autant que possible à leurs besoins. C’est important. »

 

En savoir plus sur le FAM Maraîchers

 

 

 

Inventons le monde d'après : les propositions du GROUPE SOS

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le monde apresDepuis son lancement, l’initiative « Inventons le monde d’après » a réuni plus de 20 000 propositions et 1,5 millions de votes. La consultation, portée par La Croix-Rouge Française, WWF France, Make.org et le GROUPE SOS, en association avec Unis-Cité et Mouvement UP, lance sa deuxième phase pour départager les idées et identifier les grands axes prioritaires à porter auprès des acteurs de la société. Jusqu’au 25 mai, votez pour vos propositions préférées !

Les propositions du GROUPE SOS

Le GROUPE SOS, fort de 35 ans d’expérience au service de l'intérêt général, vous propose aujourd’hui 6 mesures fortes pour que le monde d’après ne soit pas un retour à l’anormal. Valorisation des métiers à forte utilité sociale, accès à des services de qualité sans condition de revenus ou encore revitalisation des territoires ruraux… Votez pour nos propositions !

> Voter pour les propositions du GROUPE SOS !

Les associations du GROUPE SOS vous soumettent leurs propositions

Le GROUPE SOS s’appuie sur l’expertise de l’ensemble des associations qui le composent pour innover, inventer, entreprendre au service de l’intérêt général. A travers la consultation « Inventons le monde d’après », celles-ci vous font également part de leurs propositions, s’appuyant sur leur expérience du terrain pour répondre aux grands enjeux du XXIe siècle.

reconnectReconnect, le cloud solidaire

Reconnect (GROUPE SOS Tech) est une association qui développe des solutions numériques au service de l’insertion sociale. L’association a ainsi développé un coffre-fort numérique qui permet à des publics en situation de précarité de conserver tous leurs documents essentiels aux démarches d’accès aux droits, et un accès professionnel pour faciliter le travail des professionnels qui les accompagnent. Reconnect souhaite développer un numérique facile, utile, éthique.

> Voter !

Fermes d’avenir

L’'association Fermes d'Avenir (GROUPE SOS Transition écologique) a pour ambition d’accélérer la transition agroécologique, en s’inspirant de la permaculture, dans le respect des humains et de la nature. Elle s’adresse aux différents acteurs de la transition : agriculteurs et futurs agriculteurs, entreprises, territoires, propriétaires fonciers, citoyens et consommateurs. L’association est organisée autour de plusieurs activités : Production, Formation, Sensibilisation et Financement.

> Voter !

playPLAY International

Depuis 20 ans, PLAY International (GROUPE SOS Action internationale) s’investit pour faire du sport un levier d’éducation et de changement social. Cette action sur le terrain de?montre qu’il est possible d’impacter positivement les parcours de vie en inventant de nouvelles façons d’utiliser l’activité physique et sportive : pour favoriser les apprentissages et développer les compétences de vie ; faciliter le dialogue entre des communautés meurtries par la guerre ; etc.

> Voter !

Planète Urgence

Planète Urgence (GROUPE SOS Action internationale) est une association de solidarité internationale qui permet à chaque entreprise ou collectivité et à chaque citoyen d’agir, en appui à des projets sociaux, économiques ou environnementaux, initiés et gérés par des acteurs locaux, partout dans le monde.

> Voter !

silver fourrchetteSilver Fourchette

Silver Fourchette (GROUPE  SOS Seniors) est le programme qui bouscule les idées reçues sur l'alimentation des seniors en promouvant une alimentation Santé & Plaisir ! L’objectif : prouver que la cuisine dédiée aux seniors regorge de spécificités, de techniques, mais aussi de surprises, d’innovations et de saveurs tout en intégrant les enjeux de la cuisine pour le grand âge en textures modifiées.

> Voter !

Andes

ANDES, l’Association Nationale de Développement des Epiceries Solidaires (GROUPE SOS Transition écologique) est le 5ème acteur de l’aide alimentaire en France. Depuis 20 ans, ANDES fédère 380 épiceries solidaires qui accompagnent plus de 170 000 personnes par an. ANDES développe également des solutions d’approvisionnement en fruits et légumes frais pour l’aide alimentaire via 4 chantiers d’insertion qui allient la lutte contre le gaspillage alimentaire et le retour à l’emploi.

cafes

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1000 cafés

L’initiative « 1000 cafés » portée par le GROUPE SOS contribue à créer du lien social et redynamiser les territoires ruraux. « 1000 cafés » a pour but de recréer ou reprendre des cafés multiservices dans les communes de moins de 3500 habitants en milieu rural qui n’ont plus de café ou risquent de le perdre.

> Voter !

 

D’autres associations du GROUPE SOS se sont jointes à l’initiative « Inventons le monde d’après ». Si elles n’ont pas formulé de propositions officielles sur la consultation, elles oeuvrent au quotidien pour faire bouger les lignes dans la société.

hacktiv

Hacktiv

Hacktiv (GROUPE SOS Tech) est le partenaire des collectivités qui souhaitent promouvoir l’engagement citoyen et qui veulent donner à chacun la possibilité d’agir à son échelle sur son territoire. L'association met en relation les différents acteurs du territoire, pour renforcer le dialogue et permettre la co-construction de territoires plus durables.

> Découvrir Hacktiv

Plateforme I

plateforme iPlateforme i (GROUPE SOS Emploi) développe des programmes pour répondre aux défis de l’inclusion dans l’emploi. Elle met son expertise et son engagement au service des jeunes décrocheurs, des adultes en parcours d’insertion et des professionnels qui les accompagnent. Plateforme i est une structure du GROUPE SOS, première entreprise d’intérêt général en Europe.

> Découvrir Plateforme I

Brigades Natures

brigades natureLes Brigades Nature (GROUPE SOS Transition écologique) sont un groupement associatif portant des chantiers d’insertion par et vers les métiers verts tout en préservant l’environnement et la biodiversité.

> Découvrir les Brigades Nature

 

 

 

 

 






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